Lotus « s’électrise »

À Wuhan, épicentre de l’épidémie de Covid, on a retiré les masques et retrouvé le sourire. Surtout depuis l’inauguration de la nouvelle usine Lotus actant le renouveau de la marque créée par l’iconique Colin Chapman en 1948. Geely, son propriétaire chinois depuis 2017, qui contrôle également Volvo, rêve d’en faire le joyau du groupe. Cette ambition repose sur une stratégie d’électrification au pas de charge dont l’Eletre – l’émergence en… hongrois (!)- est la première représentante.

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Si elle respecte le principe du patronyme débutant par un E, cher à Lotus, elle piétine joyeusement son leitmotiv prônant la légèreté. Ce SUV grand format (5,10 m) affiche, en effet, près de 2,5 tonnes sur la balance, mais il soigne l’aérodynamique (Cx de 0,26), vertu chère à l’écurie star des paddocks de f1 des années 1960-1970. Séduisant au premier regard, l’Eletre allie justes proportions… et faux airs de Ferrari Purosangue.

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À l'intérieur, le soin porté à chaque détail – des baffles du système audio KEF aux commandes de climatisation -, la noblesse des matériaux et la précision des assemblages sont bluffants © DR

À l’ouverture des portières, il recueille tous les suffrages. Le soin porté à chaque détail – des baffles du système audio KEF aux commandes de climatisation -, la noblesse des matériaux et la précision des assemblages sont bluffants de l...


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