Lymphome folliculaire : causes, symptômes, évolution, traitement

Il s’agit d’un cancer qui touche les globules blancs, le système lymphatique et/ou la moelle osseuse. Sous-type de lymphome non hodgkinien, le lymphome folliculaire se développe aux dépens des lymphocytes B, cellules immunitaires composant — en partie — les tissus lymphoïdes. Quelles sont les causes du lymphome folliculaire ? Quelle est la survie moyenne des malades ? Comment est-il détecté et pris en charge ?

S’ils sont beaucoup moins fréquents que les cancers du sein ou de la prostate, les lymphomes non hodgkiniens constituent toutefois près de 3 % de tous les cancers confondus. Les lymphomes folliculaires, eux, représentent 22 % des lymphomes non hodgkiniens (Revue médicale suisse). Aujourd’hui, les mécanismes sous-jacents au développement tumoral de ce cancer sont méconnus. Néanmoins, les chercheurs (Esmo.org / Fonds Anticancer) ont identifié différents facteurs susceptibles d’accroître le risque de survenue du lymphome folliculaire. Parmi ceux-ci, on retrouve :

Le lymphome folliculaire est considéré comme un cancer « indolent », car il se développe lentement, insidieusement. Dans les premiers temps, la pathologie n’engendre pas de signes cliniques caractéristiques, ce qui explique une détection souvent tardive. Ce sous-type de lymphome non hodgkinien survient habituellement chez les adultes à partir de 50 ans, et l’âge moyen du diagnostic s’établit à 59 ans. Dans la majorité des cas, c’est l’augmentation excessive et durable du volume d’un ou de plusieurs ganglions lymphatiques (...)

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