Aux Maldives, un hôtel à la « James Bond », un autre à la « Robinson »

Soneva Jani

Quand on découvre sa villa, on se demande d’abord si on ne va pas devoir la partager. Tant elle est immense ! Blanche, lumineuse et un « mur » de baies vitrées face à la mer. Et puis, on passe les pièces en revue. Un coin salle à manger, un autre pour s’affaler sur un canapé XXL, des premières toilettes avec glace au sol donnant sur le lagon, un bureau face aux eaux turquoises (autant arrêter de le répéter, TOUT est face à la mer), pas un mini bar mais une vraie cuisine avec frigo rempli, la master bedroom, encore des toilettes (sans vue…), un dressing plus grand que la moitié des appartements à Paris, une salle de bains entièrement en extérieur et… un deuxième étage ! Où l’on trouve une table pour déjeuner à 8, un espace lecture (et pour regarder le coucher de soleil), ainsi que l’entrée du toboggan équipant toutes les villas, permettant de « glisser » dans l’eau depuis sa terrasse. Jugement surement subjectif, mais cet élément « gâche » un peu l’harmonie du décor et, à moins d’être un enfant, combien de fois l’utilise-t-on durant son séjour ? Il ne nous a pas semblé entendre de « plouf » non plus venu des autres villas alentour mais cet élément est « très apprécié » nous dit le staff. On peut donc les croire.

Mais la visite n’est pas finie. On a même gardé le meilleur pour la fin : le deck terrasse. Elle court tout le long de la villa qui est, on l’a compris, vaste. Des transats, des poufs, une piscine à débordement, un filet de catamaran au-dessus de l’eau...


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