Si vous le mangez cru (ou peu cuit), ce condiment protège votre coeur

Ingrédient traditionnel du régime méditerranéen (on en trouve dans le pistou, la tapenade ou l'aïoli), l'ail fleure bon la gastronomie du sud de la France, où les conditions climatiques sont favorables à sa culture. L'ail est aussi un condiment que l'on utilise volontiers au quotidien pour parfumer ses plats : chaque foyer français en consomme un demi-kilo par an. Une consommation qui mériterait d'être accrue, tant cet aromate bon marché protège l'organisme, et notamment notre coeur.

L'idéal est de ne consommer le plus cru possible

« Le bénéfice principal de l'ail tient à son composé soufré, l'allicine, qui joue un rôle dans la préservation de la santé cardiovasculaire », souligne Raphaël Gruman, diététicien. Présent en quantité dans l'ail cru, ce composé sulfuré est néanmoins dégradé par la chaleur. « On a malheureusement tendance à surcuire l'ail et à perdre une bonne partie de ses bienfaits, car souvent, on le fait revenir dès le début de la cuisson. » Sommes-nous pour autant condamnés à croquer de l'ail cru et exhaler une haleine rebutante pour bénéficier de tous ses atouts… ? « L'idéal est en effet de consommer l'ail le plus cru possible, mais broyé au presse-ail ou finement coupé -dans une vinaigrette, par exemple -, pour faciliter sa digestion. Le compromis, si l'on veut atténuer le piquant de l'ail, est de l'ajouter en fin de cuisson. On garde ainsi son goût et ses vertus santé. »

Quelle dose pour protéger notre (...)

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