Le manque d’intérêt pour le sexe pourrait bien nous faire mourir prématurément, selon une étude

On pourrait se demander quel est le lien entre sexe et espérance de vie. Il en existe pourtant bien un, et c’est une équipe de chercheurs japonais qui nous le révèle. Durant sept ans, ces derniers ont mené une étude auprès de plus de 20 000 personnes âgées de plus de 40 ans. Leurs résultats ont été publiés dans la revue Plos One et rapportés par nos confrères du Daily Mail. Ils affirment que le manque de libido serait bien un facteur de risque de mortalité. Pour en arriver là, les scientifiques ont soumis aux participants des bilans de santé annuels. Leur intérêt pour le sexe a ainsi été régulièrement évalué grâce à un questionnaire.

Après sept années, sur les 20 969 sujets originaux, 503 étaient décédés. Parmi ces derniers, 67 décès étaient dus à des maladies cardiovasculaires et 162 à des cancers. Les décès étaient notamment plus élevés chez les hommes qui manquaient de désir sexuel, note Santé Magazine. Ces derniers ont ainsi un risque de décès réduit de 69 % par rapport aux autres. Dans le cadre de l'étude, les scientifiques ont bien sûr pris en compte d’autres facteurs comme le tabagisme, la consommation d'alcool, l'IMC, les problèmes de santé sous-jacents, les niveaux d'exercice, etc.

Les auteurs ont ensuite suggéré que l'absence de libido pouvait "affecter une gamme de réponses inflammatoires, neuroendocrines et immunitaires" chez les participants masculins. Une telle corrélation n’a pas été retrouvée chez les femmes, sans que les chercheurs ne parviennent à expliquer pourquoi. (...)

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