Manuel Bompard sur l’affaire Gérard Miller : « J’ai une pensée pour les victimes présumées »

Le député LFI s’est exprimé sur les accusations qui pèsent sur le psychanalyste.

Dans une enquête exclusive dévoilée mercredi 31 janvier par le magazine ELLE, plusieurs femmes accusent le psychanalyste Gérard Miller d’agressions sexuelles et viol sous hypnose. Invité sur le plateau de BFMTV, le coordinateur de La France insoumise et député des Bouches-du-Rhône Manuel Bompard a été interrogé sur les accusations de viols qui pèsent sur le psychanalyste.

« J’ai une pensée pour les victimes présumées de cette personne », a-t-il exprimé, en rappelant que les liens entre LFI et Gérard Miller « n’étaient pas si étroit ».

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Compagnon de route de la France insoumise

Plus jeune, Gérard Miller s’était fait connaître comme un visage de la gauche, adhérant aux Jeunesses communistes à 16 ans puis à la « gauche prolétarienne ». « J'avais envie d’être communiste pour être révolutionnaire” », livrait-il dans les lignes de « Libération» en 2001. Une prise de position marquée par sa co-fondation avec la députée LFI Sophia Chikirou du site d'actualité « Le média » en 2017.

En 2016, Gérard Miller avait également suivi Jean-Luc Mélenchon lors de sa campagne présidentielle dans le cadre de la réalisation de son documentaire, « Jean-Luc Mélenchon, l'homme qui avançait à contre-courant », co-réalisé avec Anaïs Feuillette. Un travail d’immersion dans lequel Gérard Miller, aussi appelé « le compagnon de route de la France...

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