Quand et comment mettre un suppositoire à un bébé sans lui faire mal ?
Doliprane, Efferalgan, Nurofen... De nombreux médicaments ont leur version sous forme de suppositoire. Si cette forme de médication n'a plus vraiment la cote, elle peut s'avérer utile si v votre enfant ne peut plus rien avaler ou s'il vomit. Mais comment mettre un suppositoire à un bébé sans lui faire mal ? C’est sans aucun doute une question que tous les jeunes parents se posent, et qui peut parfois être source de stress. Pas de panique cependant : il existe des techniques pour rendre le processus le moins douloureux possible.
Dans un premier temps, on peut se poser la question suivante : dans quel cas faut-il choisir le suppositoire plutôt qu’un autre type de médicament ? Le suppositoire est tout indiqué lorsque le patient ne peut pas avaler de cachet, ce qui est bien entendu le cas d’un bébé.
C’est aussi préférable lorsque l’on souhaite atteindre le plus directement le tube digestif : le suppositoire fonctionne plus rapidement, note le journal de santé américain Healthline. Les suppositoires peuvent traiter la constipation, mais pas seulement : ils peuvent aussi être composés de paracétamol, et ainsi être recommandés pour faire baisser la fièvre.
Toutefois, remarque Ameli.fr, le suppositoire doit rester exceptionnel et ne pas devenir une habitude, notamment s’il est utilisé pour favoriser la défécation. “Au long cours, ils empêchent l’enfant d’acquérir les réflexes nécessaires à une défécation spontanée”, souligne le site de santé.
Le suppositoire est ainsi une excellente solution (...)