Vous ne devinerez jamais où s’applique désormais l’highlighter
Boudé pendant un temps, l’highlighter revient en force cette saison… mais pas de la même façon. Explications.
2010 : l’avènement de l’highlighter
Nous sommes en 2010. Le contouring est à son apogée grâce à une certaine Kim Kardashian. Nos leçons make-up se résument à sculpter les angles du visage, redéfinir certaines zones et en illuminer d’autres. Pour cette dernière étape, un seul produit nous est nécessaire : l’highlighter (également appelée enlumineur). Car oui, à cette époque, la brillance fait un retour remarqué. Fini les teints mats ultra poudrés, place au glow faussement naturel. C’est la naissance du strobing, cette technique qui consiste à créer un jeu de reflets sur les parties du visage qui attrapent la lumière afin d’en faire des zones lumineuses. En stick, en poudre ou en version liquide, l’highlighter s’applique (presque) partout mais surtout sur nos pommettes. Et que ça brille !
2020 : soin de la peau 1 – highlighter 0
Dix ans et une pandémie plus tard, l’highlighter se fait plus rare. Pire, certaines beautistas le boudent. Si le teint glowy est toujours la quête numéro 1, on l’adopte de façon naturelle cette fois-ci grâce aux soins de la peau qui connaissent un essor fulgurant. Aujourd’hui, le no make-up fait partie des tendances les plus adoptées. L’idée ? On camoufle nos petites imperfections, mais on laisse respirer sa peau (après l’avoir nettoyée et hydratée). La brillance artificielle de l’enlumineur n’est plus recherchée. Preuve en est avec le « Donut Glazed Skin », cette tendance...
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