« No pasarán » : Marine Tondelier dénonce « la culture du viol dans le rap »

La patronne des Écologistes, figure clé de l’entre-deux-tours des législatives, était interrogée sur le clip de rap de plusieurs artistes contre l’extrême droite, jugé sexiste et violent, sur BFMTV mercredi 3 juillet. Elle a tenu à dénoncer les casseroles de candidats du RN.

Marine Tondelier a réagi à la polémique suscitée par le clip « No pasarán » sur BFMTV. Plusieurs rappeurs, tels que Akhenaton, Fianso, Zola, Soso Maness, Seth Gueko ou encore Alkpote, ont sorti un titre choral pour s’engager contre le Rassemblement national, au lendemain du premier tour des élections législatives anticipées. Un titre diffusé lundi 1er juillet à 23 h 45, qui s’inspire du slogan des Espagnols contre la dictature de Franco dans les années 1930, et dont les paroles sont jugées violentes et sexistes.

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On a suivi Marine Tondelier, figure de proue du combat anti-RN aux législatives

« En tant que féministe, il y a des morceaux que je préfère ne pas écouter »

Interrogée à ce sujet par Apolline de Malherbe lors de l’émission spéciale organisée sur BFMTV mercredi 3 juillet, avec Gabriel Attal et Jordan Bardella, Marine Tondelier a dénoncé « la culture du viol dans le rap », reconnaissant qu’ « on peut être choqué par ce clip ». Et de marteler : « En tant que féministe, il y a des morceaux que je préfère ne pas écouter, je préfère que les garçons ne les écoutent pas, pour ne pas avoir une culture du viol. » La cheffe des Écologistes, figure de proue du combat anti-RN aux élections législatives, a ensuite mis en avant le fait qu’il s’agit des « codes du rap ». Alors que la journaliste lui a demandé si la justice devait s’en saisir, Marine Tondelier a tenu à...

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