Le pôle cold-case de Nanterre rouvre l’enquête sur le Grêlé pour un meurtre commis en 1990

Le pôle cold-case de Nanterre rouvre l’enquête sur le Grêlé pour un meurtre commis en 1990

Le pôle cold-case de Nanterre a décidé de rouvrir l’enquête sur François Vérove, dit le Grêlé, pour explorer de nouvelles pistes liées à un meurtre datant de 1990. Le corps d’un homme, retrouvé dans le bois de Saint-Aubin, portait une balle derrière le crâne. Des indices cruciaux ont récemment réorienté l’enquête vers ce tueur en série, décédé en 2021. Cette nouvelle enquête pourrait-elle relier le Grêlé à d’autres victimes ?

Le Grêlé a-t-il laissé d’autres victimes derrière lui ? Le pôle cold-case de Nanterre a rouvert l’enquête sur François Vérove, dit le Grêlé, en date du 18 novembre 2024, pour tenter de lever le voile sur de nouvelles pistes. En l’occurrence, l’affaire qui occupe les enquêteurs porte sur un meurtre commis en 1990 dans le bois de Saint-Aubin, dans l’Essonne, ont appris nos confrères de BFMTV de sources concordantes.

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Un meurtre mystérieux dans le bois de Saint-Aubin

Quelle est l’histoire derrière ce meurtre non élucidé ? Premier élément intrigant, au regard du passé criminel de l’ancien gendarme : la victime est un homme. En juin 1990, on avait retrouvé son corps attaché à un arbre, une balle derrière le crâne. À l’époque, le bois de Saint-Aubin était connu pour être un lieu de rendez-vous pour les délinquants et exhibitionnistes. Les enquêteurs ont cherché le suspect, sans jamais rien trouver le concernant.

Une munition réservée aux gendarmes retrouvée sur les lieux

Un indice crucial a orienté l’enquête du pôle de Nanterre vers le suspect connu sous le nom du Grêlé : la balle PA MAC 50 retrouvée sur les lieux du crime. Mais pourquoi les enquêteurs suspectent-ils qu’elle pourrait appartenir à ce tueur en série, décédé en 2021 après s’être suicidé ? En réalité, cette munition est couramment utilisée par les gendarmes avec leur arme...

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