La Pause Simone : J'ai testé le “shadow work“

“Transcendez votre part d’ombre.“ Quand j’ai reçu Le journal shadow work de la psychologue clinicienne Isaline Gayraud (@encoreunepsy), mon attention s’est immédiatement portée sur ces cinq mots. “Transcender ma part d’ombre“, euh… c’est-à-dire ? Je pose juste la question, hein, ce n’est pas pour moi, c’est pour une amie qui me dit dans l’oreillette qu’en fait elle croit bien qu’elle en a plusieurs, des parts d’ombre, et elle se demande s’il y a moyen de moyenner pour les éliminer ? Bon, ok, j’avoue tout : je parle de moi. En vrai, je n’ai pas d’amie. Enfin si, j’ai des amies, mais vous avez compris. Vous avez compris que dans ma tête d’overthinkeuse professionnelle, c’est le merdier quoi. Et ces temps-ci, que ce soit dans les couloirs du métro ou sur les réseaux sociaux, je n’arrête pas d’entendre parler de ce “phénomène de développement personnel venu d’outre-Atlantique“. Comme je suis prête à (presque) tout pour vous, j’ai proposé à Isaline Gayraud de me faire tester une séance - parce que j’ai découvert son livre en avant-première (il est sorti hier chez Hachette) et qu’il a beaucoup attisé ma curiosité. Rendez-vous pris, vendredi dernier.

Pour commencer, la psychologue m’explique que ce concept n’est pas nouveau puisqu'il est apparu dans les années 1930 et s’inspire des travaux de Carl Jung (“le moins pire des psychanalystes“, sic). “C’est une vision du développement personnel beaucoup plus juste, détaille-t-elle, il n’est pas seulement question de ‘libérer son potentiel’ (...)

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