Peur de finir seule ? Et si vous aviez le syndrome de Bridget Jones ?
C’est la saison des mariages et cela pousse certaines d’entre nous, encore célibataires, à se poser des questions. Pourquoi est-ce qu’on ne trouve pas le bon ? Est-ce qu’on va finir seule avec des chats comme le veut l’image stéréotypée de la vieille fille ? Et si on avait le syndrome de Bridget Jones ? On vous explique.
Vous voyez vos amies se marier puis tomber enceinte et vous vous demandez ce qui cloche avec vous ? Le cliché du célibat comme fatalité continue à être véhiculé par notre société. Quand on est trentenaires et qu’on n’a toujours pas de mari, pas d’enfant et qu’on a par contre un chat, c’est le drame. Nos parents s’inquiètent et surtout notre mère qui ne manque pas de nous rappeler qu’à notre âge elle en était déjà à son troisième enfant. On finit donc par se convaincre que quelque chose ne va pas et que ce n’est pas normal d’être seule… On prend peur et on se demande ce qu’il adviendra de nous. Si on est foutues et si, comme le veut le cliché, on finira nos jours entourées de chats. Minute papillon, ne souffririons-nous pas du syndrome de Bridget Jones par pur hasard ?
C’est quoi le syndrome de Bridget Jones ?
Le terme exact pour parler de la peur de finir seule est l’anuptaphobie. On entendra aussi parler de manière plus cool du syndrome de Bridget Jones, célibataire endurcie effrayée à l’idée de finir seule et dont l’objectif n’est autre que le bonheur conjugal. Est-on conditionnées par notre société ? Doit-on s’y soumettre ? Que faire si l’amour ne toque pas à notre porte ? Doit-on désespérer ? Tant de questions plus angoissantes les unes que les autres. Dans un entretien à Libération, en 2005, la célèbre écrivaine Doris Lessing disait « Les femmes modernes peuvent maintenant tout...
Ce contenu peut également vous intéresser :