Photographier votre repas pourrait vous coûter un deuxième rendez-vous amoureux

S’il y a des gourmands parmi vous, faites attention. La jolie photo de poulpe grillé que vous avez prise lors de votre dîner amoureux hier soir pourrait vous coûter un deuxième rendez-vous.

Le célèbre site de rencontre EliteSingles.ca a récemment mené une étude et a dressé une liste de ce qui empêchait les célibataires canadiens de fixer un deuxième rendez-vous. Quelques-unes de ces causes sont assez surprenantes.

Voici les cinq premières bêtises à ne pas faire :

  1. Choisir un restaurant chic. 84 % des canadiens pensent qu’un premier rendez-vous doit être décontracté, idéalement dans un café.

  2. Cela devrait être évident, mais 70 % des sondés affirment qu’ils passeraient leur chemin s’ils découvraient que leur partenaire avait menti en disant qu’il était non-fumeur. 49 % n’apprécient pas que leur partenaire mente au sujet de son poids, ou de sa taille.

  3. Porter de mauvais vêtements. Cette chemise fantaisiste amuse peut-être vos amis, mais 63 % des sondés considèrent cela comme repoussant.

  4. Parler des nuits à venir. Pour la plupart des femmes, le fait de parler de sexe ou de faire des suggestions lors d’un premier rendez-vous, peut être une raison pour ne pas aller plus loin.

  5. Être trop discret. Il s’avère qu’être à l’écoute ne paye pas trop. 76 % des canadiens cherchent quelqu’un de bavard.

Si certains points peuvent paraître évidents, d’autres éléments sont plus surprenants.

D’après l’étude, le fait de prendre une photo du repas ou de partager sur Snapchat certains moments du rendez-vous est repoussant (bien plus qu’un mauvais baiser). En outre, 1 homme sur 4 trouve les selfies peu séduisants, surtout s’ils sont pris avec un bâton à selfies.

(EliteSingles.ca)

Parmi ces éléments inattendus, on retrouve le risque de trop s’habiller pour un rendez-vous. Ainsi, les hommes ne devraient pas être en costume-cravate, et les femmes devraient éviter de porter trop de bijoux.

Pour couronner le tout, demandez votre partenaire en ami sur Facebook. Selon l’étude, 20 % des canadiens pensent qu’il est étrange d’être contacté sur les réseaux sociaux après un premier rendez-vous.

Simone Olivero