Le polter-ghosting : ce comportement irrespectueux qui impacte la confiance en soi

Le ghosting ne suffisait pas à nous mettre plus bas que terre sur les applications de rencontres. Certains utilisateurs décident d’aller plus loin en pratiquant le polter-ghosting.

Les comportements amoureux et romantiques portent tous des noms plus farfelus les uns que les autres. Parmi eux, le stonewalling, le caspering, le r-bombing… Plus connu, le ghosting, dont nombreux·ses ont déjà fait l’expérience désagréable. Le ghosting, issu du mot « fantôme » en anglais, consiste à disparaître sans donner de nouvelles à la personne avec laquelle nous entretenions une relation. Et depuis peu, Bumble a mis la lumière sur un autre phénomène dont il faut se méfier, le polter-ghosting.

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Un concept qui ne date pas d’hier 

Polter, poltergeist… on reste dans la thématique des fantômes, puisque ce comportement ressemble au ghosting. Mais il survient parfois plus loin dans la relation, quand les deux personnes ont décidé de se rencontrer. Se présenter face à un ou une inconnu·e pour la première fois peut être intimidant, et beaucoup considèrent cette étape comme importante. Elle signifie que chacun se porte un intérêt mutuel et désire apprendre à se connaître. Alors, anxieux·se et nerveux·se, on se prépare, on se met sur son trente-et-un pour que peut-être l’étincelle retentisse. Mais le moment venu, notre date ne se présente pas au premier rendez-vous. En fait, le polter-ghosting n’est pas né d’hier. On parle aussi de « poser un lapin », faire faux bond à son rendez-vous sans donner d’explication et en ghostant la...

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