Comment préserver sa santé mentale lors d’un repas de Noël

Non, le vin n'est pas la seule solution.

Si les fêtes de fin d’années sont, pour beaucoup, synonyme de joie et de retrouvailles, elles peuvent aussi tourner à la « défaite de familles ». Quelques conseils pour gérer les remarques, tontons antivax et autres joyeusetés pendant cette période.

Ahhh, Noël. Chaque année, c’est la même chose. Alors que votre mère s’est creusée la tête pendant trois mois sur le menu, votre cousine devenue vegan refuse de s'asseoir à une table où on sert du foie gras. Un tonton Jacques bien arrosé se plaint de la cuisson de la dinde entre deux remarques sur l’état du monde – il faut dire que le Covid sied à merveille à sa tendance complotiste. Votre grand-mère chérie vous sert un panaché de ses plus grandes inquiétudes : votre célibat, votre job et l’absence d’enfants à table ou dans votre utérus.

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Et pour couronner le tout, votre tante vous regarde d’un air inquisiteur lorsque vous vous resservez en petits fours : « Tu devrais faire attention à ta ligne ma belle, t’as plus 20 ans. » Bref, bonne ambiance. Comment gérer les débats sur l’actualité, les remarques sexistes, éventuellement la rencontre avec des beaux-parents, le tout en évitant de terminer avec les nerfs et l’estomac en vrac ? Pour préserver votre santé mentale et l’intégrité de chacun, voici un plan d’attaque pour passer un joyeux Noël en famille.

Choisir ses combats

Non, on ne peut pas débattre de tout avec tout le monde. Certains sujets ont comme un don pour mettre à mal le lien sacré de la famille : le féminisme et le Covid sont deux cas d’école. Défendre ses idées coûte que coûte, y laisser des larmes voire se faire traiter...

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