Quelles sont les villes françaises où les femmes se sentent le mieux ? Les résultats de notre palmarès

La santé, la sécurité, la politique municipale comptent, bien sûr. Mais la pollution, le prix des loyers, la mobilité maîtrisée, le dynamisme économique, la garde des enfants ou le bonheur d’un rayon de soleil un beau matin d’avril aussi. Ce classement-là est plus hétéroclite. Mais terriblement important.

Il y a de fortes chances qu’ensoleillée, bien desservie par la SNCF, dotée d’une offre culturelle variée, abondante et de qualité, d’un réseau de transports urbains moderne et dense, d’un bassin d’emploi dynamique, bref d’un cadre de vie attrayant, une ville séduise de nouveaux habitants et habitantes… qui vont inévitablement tirer les prix des logements vers le haut et, très probablement, déséquilibrer son solde écologique. C’est tout le paradoxe de cette section de notre palmarès, dont les composants sont nombreux, dissemblables, voire, pour certains, contradictoires.

Ainsi Nantes, Vannes et Rennes, qui prennent les trois premières places de ce classement intermédiaire, disposent-elles d’un parc immobilier non extensible mais très recherché, par les Franciliens en particulier. A moins de deux heures trente de Paris en train, au pire, il n’y a rien là de bien étonnant. En contrepartie, les logements y sont très chers. Nantes attire les jeunes diplômés, séduits par les nombreuses créations de poste et l’activité économique. Ce sont elles qui, en dépit des vents de l’Atlantique, expliquent son très médiocre bilan carbone… heureusement compensé par un tissu serré de gardes d’enfants, (...)

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