Rumeurs transphobes contre Brigitte Macron : la justice a tranché

Les rumeurs transphobes contre Brigitte Macron datent de décembre 2021. Le 15 février 2022, l'épouse d'Emmanuel Macron a assigné deux femmes en justice. Comme le rapporte Le Parisien, l'une se présentait comme "médium" et l'autre comme "journaliste indépendante". Ces dernières ont propagé de fausses informations selon lesquelles la Première dame serait en réalité un homme dont le prénom de naissance serait Jean-Michel. Brigitte Macron a elle-même qualifié cette rumeur transphobe de "complètement farfelue". La définition de ce terme signifie "ce qui manifeste de l'hostilité envers les personnes transgenres". La transphobie est ailleurs répréhensible par la loi. Née sur YouTube, la fake news a finalement peu à peu pris tellement d'ampleur que l'ancienne professeure de théâtre a été forcée de réagir. Elle s'était exprimée en disant qu'en raison de ses engagements contre la haine en ligne, il lui était impossible de ne pas réagir. "Si je ne fais rien alors que ça fait quatre ans que je suis contre le harcèlement, je ne suis pas audible".

Brigitte Macron avait donc pris les mesures évoquées plus haut, intentant une procédure pour "atteinte au respect de la vie privée et au droit à l’image". Les deux femmes avaient en effet diffusé sur une chaîne Youtube des photos de la première Dame et de sa famille. Cependant, comme l'indique Le Parisien du 8 mars 2023, cette procédure intentée par la Première dame a été annulée par le tribunal judiciaire de Paris. La raison ? Celui-ci estime que (...)

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