Rupture libératrice : « Une fois le déménagement acté, je ne verse plus une larme »
Tous les quinze jours, une lectrice nous partage un bout de son histoire amoureuse, une rupture salvatrice, de celle qui permet de se libérer et de revivre. Cette semaine, c’est Juliette, 36 ans, qui se confie.
« Je suis en couple depuis 3 ans quand je rencontre Pablo à un anniversaire. C’est un coup de foudre à l’instant même où nos joues s’effleurent quand on se fait la bise. J’ai des étoiles dans les yeux. À cette soirée, nous échangeons nos numéros de téléphone. Je veux absolument le revoir, je ressens quelque chose de fort. Quelques jours plus tard, nous nous retrouvons autour d’un dîner qui finit chez lui. L’alchimie se confirme. Je n’ai jamais ressenti cela, ce qui me chamboule et me motive. Je quitte mon copain après cette nuit-là. Nous entamons notre relation et passons trois mois très intenses comme souvent au début d’une histoire. Il n’y a pas de red flag, j’ai 22 ans et je démarre mon premier job, un VIE à Madrid. Lui a 13 ans de plus que moi et vit à Santiago du Chili, d’où il est originaire. Nous vivons notre première année ensemble à distance. Nous nous débrouillons pour nous retrouver tous les mois. Ce n’est pas trop difficile et cela fonctionne bien pour nous. Lorsque mon contrat se termine, cela me semble naturel de le rejoindre au Chili. Je débarque dans sa vie et dans son espace mais je m’intègre très vite et je trouve du travail rapidement également.
Au bout de deux ans de relation, je commence à me poser des questions. Je n’arrive pas à avoir suffisamment d’espace dans cette relation. Il a un côté paternel mais comme je suis jeune et légère, je ne m’en rends pas vraiment compte. À chaque...
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