Soleil : retour sur 7 idées reçues pour mieux comprendre les indices UV et bronzer sans danger

Alors que le printemps est de retour, et avec lui les premiers rayons de soleil, il est tentant de profiter de ces moments pour un petit moment en extérieur avec des températures plus douces. Mais le saviez-vous ? La température de l’air n’a presque aucune incidence sur la force du rayonnement UV. Ainsi, sans même nous en apercevoir, notre peau peut être brûlée après une mauvaise exposition au soleil. Mais que savons-nous de ces rayons UV ? A quoi correspond l’indice UV ? Tout ce qu’il faut savoir pour éviter les risques solaires et gagner un petit hâle sans danger.

On parle d'indice UV pour mesurer "l’intensité du rayonnement UV", comme le rappelle l'Organisation Mondiale de la Santé. "Les valeurs de l’indice partent du zéro et vont en augmentant – plus il est élevé, plus le potentiel de lésion cutanée et oculaire augmente, et moins il faut de temps pour que l’effet nocif apparaisse. L’indice UV est un outil important permettant d’alerter les gens de la nécessité de se protéger du soleil", peut-on lire sur le site de l'OMS.

C’est FAUX. La lumière du soleil comprend le rayonnement visible, infrarouge et ultraviolet. Cette chaleur, procurée par le soleil, provient du rayonnement infrarouge. Le rayonnement ultraviolet (UV) quant à lui est invisible, et ne peut être ressenti sur la peau. En principe, toute exposition aux rayons UV endommage la peau même si la douleur due à la brûlure ne se fait sentir qu’après un certain laps de temps. La période d’exposition aura son importance (...)

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