Sommeil : cette habitude peut stimuler un cerveau fatigué en cas de mauvaises nuits

Des chercheurs ont découvert que cette simple habitude qui ne prend pas plus qu’une vingtaine de minutes peut aider à stimuler les fonctions cognitives après une mauvaise nuit. En effet, une privation de sommeil même légère est susceptible de nuire à notre attention et à notre vigilance, réduire nos capacités à ressentir, à imaginer et à créer et affecte notre humeur et nos émotions.

Tout comme les muscles de nos bras et nos jambes, le cerveau fonctionne de façon optimale quand on fait de l’exercice régulièrement. De nombreuses études l’ont démontré : faire de l’exercice physique régulier améliore l’humeur, diminue l’apparition de troubles cognitifs et stimule le renouvellement des neurones et l’apparition de nouvelles connexions entre eux. Preuve que l’activité physique et la santé cérébrale sont très étroitement liés, une étude publiée dans la revue Physiology and Behaviour affirme qu’une courte séance d'exercice d'intensité modérée peut annuler une partie des troubles cognitifs causés par le manque de sommeil. Il s’agissait plus précisément pour des chercheurs de l'Université de Portsmouth d’explorer comment le sommeil, les niveaux d’oxygène et l’exercice affectent notre capacité à effectuer des tâches mentales. Ces derniers sont partis du constat que le sommeil est fondamental pour maintenir un mode de vie sain, et qu’à l’inverse les conséquences d’une privation chronique comprennent les maladies cardiovasculaires, l'obésité, les troubles neurodégénératifs et la dépression.

Mais il s’avère surtout que le manque de sommeil peut réduire les performances cognitives, et ce même à court terme. De quoi s’agit-il ? Des processus mentaux impliqués dans la perception, l’attention, la mémoire, le raisonnement, la résolution de problèmes, le langage et la prise de...

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