Stéphane Rotenberg : sa fille Emma connait un succès international
Ce jeudi 17 février 2022, les téléspectateurs pourront retrouver Stéphane Rotenberg aux commandes de la nouvelle saison de "Pékin Express" sur M6. Mais ce que le grand public sait moins, c’est qu’en plus d’être un aventurier passionné de contrées lointaines, l’animateur est aussi le premier fan de sa fille, Emma, qui brille à l’internationale depuis quelques années.
On le sait : Stéphane Rotenberg est plutôt du genre discret. Lorsqu’il ne sillonne pas les quatre coins du monde dans "Pékin Express", il officialise dans l’autre émission culte de M6, "Top Chef". Voilà pour le petit écran. Côté vie privée, l’animateur est marié depuis de nombreuses années à Nathalie Pisibon. Ensemble, ils ont eu Emma. Aujourd’hui âgée de 25 ans, la jeune femme a très vite choisi sa voie, et le succès est plus que jamais au rendez-vous !
Vidéo. La Minute de Stéphane Rotenberg
Une passionnée de mode
Si son célèbre papa est l’une des figures emblématiques du petit écran, Emma, elle, a choisi les projecteurs d’un autre univers tout aussi fermé. Mannequin, elle a défilé pour de nombreuses marques dans divers pays, à l’instar de l’Italie et de la Grèce. Et ce, dès ses 17 ans. Mais c'est bien avant que Stéphane Rotenberg a pris la mesure de la passion de sa fille pour la mode. Un jour, il n’a pas hésité à faire une entorse à sa discrétion légendaire pour apparaitre au côté d’Emma lors de la Fashion Week de Paris, en 2012 : "Comme je savais qu'elle était un peu curieuse, je l'avais emmenée. Est-ce que ça a provoqué un déclic ? Elle était toute jeune" s’est-il souvenu dans les colonnes de Femme Actuelle. C’est en effet une révélation pour Emma qui a alors commencé à s’intéresser davantage à la mode.
En plus du lycée, elle a suivi des cours du soir aux Beaux-Arts avant d'intégrer l'École supérieure des arts et techniques de la mode. "J'ai commencé par dessiner mes collections à l'âge de 13 ans. J'essayais toutes les tenues qui me plaisaient dans les boutiques et je choisissais celle qui se mouvait le plus", a-t-elle déclaré dans les pages de Vogue. Car si elle a eu la chance d’être interviewée par le prestigieux magazine, c’est parce qu’elle a lancé sa propre marque, "Rowen Rose", en 2018, inspirée d’un mélange "entre Prada et Céline". Etablie à Londres, Emma est aussi une jeune femme amoureuse d’un certain Jules, avec qui elle est en couple depuis plus de 8 ans, comme elle l’a célébré en août 2021 sur son compte Instagram.
Une ascension fulgurante
Entre les enregistrements de ses émissions qui l’emmènent souvent ailleurs, et ses autres engagements professionnels, Stéphane Rotenberg est un homme occupé. Pour autant, il garde toujours un œil admiratif sur sa fille. "Elle est partie, elle avait 17 ans et demi. Elle a d'abord fait ses études et maintenant elle a monté sa marque.(...) Elle fabrique à Milan et elle est en France parce qu'elle fait sa fashion week à Paris. C'est vrai que c'est bluffant de lancer sa marque si jeune. C'est son ambition" déclarait-il, pas peu fier, dans les colonnes de Femme Actuelle en 2019. Très active sur les réseaux sociaux, surtout sur Instagram où son compte personnel et celui de sa marque comptabilisent des milliers d’abonnés, Emma poursuit ses rêves. Pour le plus grand bonheur de son célèbre papa, qui n’en revient toujours pas.
Il faut dire qu’en seulement quelques années, le travail de sa fille a été repéré et honoré par les plus grands : "Je suis bluffé de voir que maintenant, elle a des articles dans le monde entier. Il y a eu récemment le Vogue Allemagne qui a fait un papier. Il y a aussi eu des articles en Roumanie, en Bulgarie, en Pologne, en Israël et en Amérique. Et c'est dans une presse très pointue." S’il est habitué au feu des projecteurs, Stéphane Rotenberg reste en admiration devant la renommée internationale acquise par le travail acharné de sa fille : "Elle s'est imposée seule. Quand elle fait sa revue de presse, je suis impressionné de voir tout ce qui est publié. On a repéré sur un moteur de recherche chinois, qu'il y avait plus de cent-vingt articles sur elle en Chine. Ça peut être de petits sites mais bon, c'est à l'échelle du pays ! Alors que, pour l'instant, elle n'a même pas de revendeur en Chine !" s’extasiait-il en 2019.
Stéphane Rotenberg, papa tendre "qui laisse faire"
Pour l’animateur de 54 ans, il est important de le rappeler : Emma s’est construite toute seule, et n’a jamais voulu s’aider de son statut de "fille de". "Bluffant" pour son célèbre papa : "Moi j’ai quitté le domicile parental à vingt-deux ans. Et encore, je rentrais le week-end avec mon linge sale !" a-t-il confié à Gala, rappelant que sa fille a quant à elle quitté ses parents à seulement 17 ans : "Elle est partie toute seule chercher son appartement, gérer ses inscriptions. Je n’ai eu qu’à la rejoindre pour valider ses choix et donner quelques conseils de circonstances." Cette indépendance, Emma l’a toujours eue. Il faut dire que, dès son plus jeune âge, elle a dû se construire plus ou moins seule. "Lorsqu'elle était plus jeune, j'ai été très absent, j'ai loupé son anniversaire tous les ans durant six ou sept ans à cause du tournage de Pékin Express" a admis Stéphane Rotenberg à Gala.
Vidéo. "Pékin Express", "Top Chef" : toutes les infos sur les prochaines saisons
Un papa absent physiquement, certes, mais qui a toujours mis un point d’honneur à préserver des liens forts avec Emma : "Elle le sait, j'aime plus que tout parler avec elle, réfléchir, répondre à ses questions (…) Je suis un père qui laisse faire. Très peu dirigiste. J'ai peut-être tort mais ce qui est sûr, c'est que je suis toujours présent pour ma fille." Maintenant qu’Emma a pris son envol, et construit sa propre voie, Stéphane Rotenberg est encore plus rempli de fierté et d’admiration. En témoignent ses mots particulièrement touchants : "Beaucoup de femmes ont marqué ma vie, mais mon héroïne, c'est ma fille Emma. Elle m'étonne chaque jour davantage." Il n’y a pas meilleure conclusion.
À lire aussi :
>> Pékin Express : Aventures d'un soir entre candidats et hôtes... Stéphane Rotenberg balance
>> Stéphane Rotenberg : « Un mauvais souvenir »
À voir également : (Pékin Express 2021) : "Le tournage a été arrêté pendant 6 mois. Ça a été, de très loin, la saison la plus difficile"