Sylvester Stallone qualifie Donald Trump de « deuxième George Washington »
Donald Trump, a été qualifié de « deuxième George Washington» par Sylvester Stallone.
En présentant le chef du parti républicain lors du gala de l'America First Policy Institute qui s'est tenu à Mar-a-Lago à Palm Beach, en Floride, jeudi 14 novembre (24), l'acteur de Rocky a fait l'éloge de la victoire du président-élu des États-Unis sur la candidate du parti démocrate Kamala Harris lors de l'élection qui a eu lieu au début du mois.
Sylvester Stallone a également comparé Donald Trump à George Washington, le père fondateur qui a été le premier président des États-Unis de 1789 à 1797.
« Je vais juste dire ceci - et je le pense vraiment. Lorsque George Washington a défendu son pays, il ne se doutait pas qu'il allait changer le monde. Car sans lui, on peut imaginer à quoi ressemblerait le monde. Devinez quoi ? Nous avons le deuxième George Washington. Félicitations ! » a-t-il déclaré avec enthousiasme
Par ailleurs, Sylvester Stallone a comparé Donald Trump à son personnage emblématique, Rocky Balboa. Pour insister sur ce point, il a rappelé l'image d'ouverture du film de 1976, qui passe d'une peinture du Christ à Rocky en train de se faire frapper dans la salle de sport.
« À ce moment-là, il était une personne choisie et c'est ainsi que j'ai commencé le voyage - quelque chose allait se produire, cet homme allait se métamorphoser et changer des vies, tout comme le président Trump », a poursuivi l'acteur et réalisateur de 78 ans. « Nous sommes en présence d'un personnage vraiment mythique. J'adore la mythologie. Et cet individu n'existe pas sur cette planète. Personne au monde n'aurait pu réussir ce qu'il a réussi à faire, alors je suis impressionné. »
Après cette introduction pour le moins dithyrambique, Donald Trump est monté sur scène et a échangé une poignée de main avec Sylvester Stallone.
Auparavant, la star de Tulsa King était restée discrète sur ses affiliations politiques. Mais dans une interview de 2016 avec Variety, Sylvester Stallone a révélé qu'il « aimait » Donald Trump et le considérait comme un « grand personnage de Dickens ».
