TÉMOIGNAGE Le cancer du sein n'a pas de sexe

Il est un rendez-vous que Mikel, Montpelliérain enjoué à l'accent chantant, ne manquerait pour rien au monde : c'est celui d'Octobre rose, l'opération de sensibilisation au dépistage du cancer du sein et de récolte de fonds pour la recherche, dont le symbole est un ruban rose. Car il est directement concerné. Cette maladie, il l'a vécue dans sa chair : il fait partie des 500 hommes environ qu'elle touche chaque année. Une pathologie rare chez l'homme alors qu'il s'agit du cancer le plus fréquent et le plus meurtrier chez la femme.

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"Je suis rentré chez moi avec très peu d'informations sur ce qu'allait être ma vie ensuite"

Tout a commencé de façon presque banale, en 2011. Mikel a alors 35 ans : "J'étais allé voir un généraliste car j'étais très complexé par la grosseur de mes seins. À la plage, avec mes amis, je me cachais. Le médecin a alors diagnostiqué une gynécomastie", c'est-à-dire une augmentation anormale du volume de la glande mammaire chez l'homme. C'est une affection bénigne, parfois liée au surpoids, mais qui peut entraîner des complications (kystes, tumeurs...). Mikel se fait opérer pour enlever ce surplus de graisse. Le bénéfice est immédiat : "J'étais redevenu un homme !" se souvient-il. Mais un mois plus tard, suite à des analyses, c'est la douche froide : on lui détecte un pré-cancer aux seins.

Nouvelle opération, (...)

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