Cette tendance ceinture revenue d'outre-tombe (ou des années 2000) est la nouvelle lubie des modeuses aguerries

Impossible de ne pas vous souvenir d'elle : fashion disaster absolu des années 2000 pourtant convoité par toutes les lolitas et célébrités de l'époque (de Sienna Miller à Kate Moss en passant par Paris Hilton et les Destiny's Childs), la ceinture XXL ronde fait son come-back aux tailles des modeuses les plus audacieuses cette année. Car si effectivement, l'on pensait que la folie Y2K allait s'essouffler, les fashionistas n'en finissent pas de nous prouver le contraire en rivalisant de moyens (et force est de l'avouer, de connaissances) pour ressortir des archives modes plus controversées et discutables les unes des autres. Et leur dernière trouvaille vintage ne déroge pas à la règle : arborée lestement sur les hanches de Shakira dans le clip "Whenever, Whenever", la "Concho Belt" ou ceinture à disques bohème est bel et bien de retour.

Tendance ceinture Y2K : la "Concho Belt", cet accessoire prisé des années 2000 fait son grand retour aux hanches des filles stylées

Inspirée par les armures des gladiateurs (Britney Spears, Pink et Beyoncé la portaient d'ailleurs dans la célèbre pub de l'arène Pepsi), adoptée des siècles plus tard par les hippies puis récupérée par les starlettes au look bobo chic dans les années 2000, la fameuse "Concho Belt" a littéralement traversé les époques, en dépit de son utilité. En effet, uniquement esthétique, elle fait partie de ces ceintures "inutiles" portées sur les hanches pour un supplément de cool — et (...)

Lire la suite sur Grazia

Cet accessoire preppy sera un incontournable de la rentrée pour élever vos looks
Calendriers de l'avent 2023 : The Body Shop dévoile ses pépites pour attendre (déjà) Noël...
Que devient Mischa Barton, la fragile et inoubliable Marissa de Newport Beach ?
Comment s'accorder du temps de qualité en couple et pourquoi c'est primordial ?
Allez-vous trop loin quand vous vous livrez à vos amis ? Entre confidences et déchargement émotionnel, un expert nous explique les frontières