Tentée par une réduction mammaire ? Tout ce qu'il faut savoir
Douleurs dorsales, gêne pendant le sport, difficultés pour s’habiller… Une grosse poitrine n’est pas toujours bien vécue. Quand cela devient un problème au quotidien, une réduction chirurgicale peut aider à se réconcilier avec sa silhouette.
La première consultation
Le chirurgien demande ce qui gêne, les antécédents médicaux et chirurgicaux afin d’écarter toute contre-indication comme un trouble de la coagulation, des troubles cardiaques...
Il examine la poitrine et discute du volume et du type de poitrine souhaité, et de la taille de soutien-gorge qui pourra être porté une fois le résultat stabilisé. Pour que celui-ci soit harmonieux, ce choix doit tenir compte de la silhouette.
Il décrit ensuite comment il va diminuer le tour de poitrine, la longueur et la place des cicatrices : généralement, elles forment un T inversé, avec une barre verticale entre l’aréole et la base du sein et une cicatrice qui suit le sillon sous-mammaire. Et comme le le mamelon est déplacé afin de respecter l’harmonie de la poitrine, il y a une troisième cicatrice autour de l’aréole.
Le chirurgien précise le déroulement de l’intervention,les examens à faire avant (mammographie et échographie), les précautions à prendre : pas d’aspirine les jours qui précèdent, ni de tabac qui majore les risques de complications et de mauvaise cicatrisation. Il décrit les suites, informe des risques liés à l’anesthésie et au geste chirurgical lui-même, des plus légers aux plus exceptionnels (phlébite, embolie), ainsi que des complications possibles comme un hématome, qui doit être rapidement évacué, une infection ou une nécrose. Il vous remet d’ailleurs un consentement éclairé à lire attentivement et à rapporter signé lors de la seconde consultation ou le jour de l’intervention, avec le devis qui détaille les frais de bloc opératoire, d’anesthésie et les honoraires du chirurgien.
Quand le volume retiré est important, au delà de 300g par sein, une partie de l’intervention peut être prise en charge par la (...)
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