Thomas Dutronc : « J'ai envie de donner du bonheur »

Thomas Dutronc revient en force avec son nouvel album « Il n'est jamais trop tard », un titre qui résonne comme un mantra plein d'espoir. À 51 ans, le chanteur et guitariste prouve qu'il n'est jamais trop tard pour se réinventer. Plus pop et léger, cet opus marque une rentrée sous le signe de la fraîcheur et de la résilience. Malgré les épreuves récentes, le fils de Jacques Dutronc et de Françoise Hardy partage un message optimiste à travers ses nouvelles chansons, offrant une douce touche d'été indien.

C'est votre premier disque de chansons originales depuis 2015. Pourtant, vous n’avez pas arrêté…

Cet été, j'ai pris du temps, car j'en avais besoin, mais sinon j'ai beaucoup travaillé. En 2020, j'avais sorti Frenchy, un disque de reprises. Puis j'ai été en tournée deux ans avec mon père [Jacques Dutronc]. Aujourd'hui, je sais que créer des chansons, jouer de la guitare et être sur scène est ce que je préfère. Il faut que je le fasse encore plus et encore plus vite. Donc un autre nouvel album arrivera bientôt, on verra si le futur me donne raison, mais je vais essayer d'enchaîner, de composer plus de morceaux et plus souvent.

Avez-vous un titre préféré sur cet opus ?

Je les aime tous. Bien sûr, j'adore les moments de belle guitare. Je suis en admiration devant la version acoustique des P'tits Bonheurs ou d'Où étais-tu ? dès qu'il y a de la guitare, ça me parle. Sur cet album, je n'ai quasiment fait qu'écrire les paroles et juste deux ou trois musiques.

Je cherche à ne pas me répéter, à apprendre, à aller plus loin, à explorer des univers inconnus. Mais je ne peux pas m'empêcher de faire quelques blagues dans les textes. Par exemple, sur Marilou, j'enchaîne les jeux de mots du type « Arielle qui me lessive », « j'ai dû refuser Ariane », « les cougars de l'Est », etc. Mais, derrière les postures, l'humour, le swing, l'envie est de partager la joie de connaître des gens talentueux.

Votre album fait du bien. En...

Lire la suite sur Femina.fr

A lire aussi