Ce très beau premier roman, écrit par une autrice nigériane, a bouleversé 500 000 lecteurs

Paru le 8 janvier 2025 chez HarperCollins, ce premier roman raconte l’émouvant destin d’une enfant nigériane mariée de force à quinze ans. Parmi ses lecteurs conquis, on compte la militante Malala Yousafzai

Adunni, adolescente élevée dans la campagne du Nigeria avec ses frères, aimerait devenir un jour institutrice. Mais ce rêve tourne court : sa mère, qui travaillait pour qu’elle puisse bénéficier d’une instruction à l’école, est décédée. Et son père a de tout autres projets pour elle, à commencer par un mariage forcé avec un homme qui a déjà deux épouses mais désespère d’avoir un fils. Abusée par ce mari qu’elle n’a pas choisi, Adunni puise son courage auprès de Khadija, sa précedesseure, mais un drame l’oblige à fuir le plus loin possible… Voici pour le début de La Fille qui ne voulait pas se taire, qui a touché pas moins de 500 000 lecteurs dans le monde depuis sa parution en anglais en 2020.

A découvrir également : « Jacaranda » : que raconte le livre de Gaël Faye, succès littéraire de cet été ?

La Fille qui ne voulait pas se taire d'Abi Daré
La Fille qui ne voulait pas se taire d'Abi Daré

« La Fille qui ne voulait pas se taire » raconte le pouvoir de l’éducation et de l’instruction

Dans ce texte souvent révoltant, on découvre la plume de la Britannique Abi Daré, elle-même originaire de Lagos au Nigeria où sa mère célibataire s’était battue pour lui offrir une éducation. « J’étais très jeune à l’époque et je ne comprenais pas, mais je me suis dit que ce devait être assez important pour que cette femme sacrifie tant, se souvenait-elle auprès du site Malala.org lancé par la militante Malala Yousafzai. Alors j’ai commencé à étudier, j’ai obtenu plusieurs diplômes...

Lire la suite sur Femina.fr

A lire aussi