Sur les traces des mutinés du Bounty

Dans la moiteur du petit matin tahitien, fleur de tiare dans les cheveux et colliers de fleurs autour du cou, nous montons sur l’échelle de coupée au son des chants et du ukulele, pour une odyssée de plus de 5000 kilomètres vers Pitcairn. L’île des mutinés, exilés sur une île déserte, et immortalisée par l’écrivain américain, James Norman Hall, auteur avec Charles Nordhoff  des « Révoltés de la Bounty ».

Notre navire de 126 mètres de long peut accueillir 266 croisiéristes, 110 cabines dont une suite présidentielle, un restaurant de 252 places, 4 bars et un Sun Deck avec piscine. Les 100 membres d’équipage, tous polynésiens, rendraient jaloux tous les hôtels et les bateaux de la planète, par leur bonne humeur communicative, leur disponibilité et leur professionnalisme. On s’inventerait bien un anniversaire tous les soirs, pour avoir la faveur d’un haka.

Sur le navire de 126 mètres de long : 110 cabines dont une suite présidentielle, un restaurant de 252 places, 4 bars et un Sun Deck avec piscine.
Sur le navire de 126 mètres de long : 110 cabines dont une suite présidentielle, un restaurant de 252 places, 4 bars et un Sun Deck avec piscine. © DR

Le temps de faire le tour de nos quartiers, une cabine spacieuse et ultra-confortable avec balcon sur la mer, nous sommes attendus sur le pont piscine, pour un shot de culture polynésienne. Une troupe de danseurs marquisiens, hommes et femmes, tous tatouages, pagnes et colliers de dents de phacochère dehors, se lancent dans des danses guerrières et des incantations. No...


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