Trajet domicile-bureau : ce moyen de transport limiterait le recours aux antidépresseurs

Si le métro, le bus ou encore le RER affectent la santé mentale, un autre mode de transport limite le recours aux antidépresseurs et aux anxiolytiques, selon une étude écossaise.

Tristesse, anxiété, stress… En cette période hivernale, une baisse d’énergie et de motivation peut se faire ressentir. C’est ce qu’on appelle le trouble affectif saisonnier (TAS), plus connu sous le nom de dépression saisonnière. Ce coup au moral est souvent dû à une absence de sérotonine, l’hormone du bonheur qui régule notre humeur. Mais d’autres facteurs peuvent entrer dans l’équation. Par exemple, prendre les transports en commun de façon quotidienne affecte particulièrement la santé mentale.

Selon une étude britannique menée en 2014 par l’Office for National Statistics (ONS), les personnes qui empruntent le métro ou le bus pour se rendre au travail sont trois fois plus stressées que celles qui prennent la voiture, le vélo, ou qui se déplacent à pied. Et les effets sur la santé mentale sont plus importants qu’ils n’y paraissent. D’après une enquête plus récente, publiée ce lundi 15 janvier dans l’ « International Journal of Epidemiology », aller travailler à vélo réduirait le recours aux antidépresseurs, par rapport aux autres moyens de transport.

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Le vélo, un allié de taille pour la santé mentale

Pour mener cette étude, des chercheurs de l’université d’Édimbourg ont analysé les données de la population écossaise, concernant les prescriptions liées à la santé mentale et les modes de transport utilisés, recensés en...

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