« Les Trois Mousquetaires : Milady » : que vaut le second volet des aventures de D’Artagnan ?

Le synopsis : Du Louvre au Palais de Buckingham, des bas-fonds de Paris au siège de La Rochelle… dans un Royaume divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France.

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La critique (3/5)

Voici donc le second volet des aventures inspirées de Dumas, après le succès du premier film sorti au printemps. Voulue comme un diptyque (et, qui sait, même davantage, à en croire le final de cet opus), l’intrigue se focalise cette fois sur Milady, à la fois ange et démon dans sa quête de vengeance et de rédemption. Un film sûrement plus sombre, plus introspectif que le précédent, qui laisse parfois quelques ressorts narratifs de côté, mais toujours mené à un train d’enfer par la mise en scène échevelée de Martin Bourboulon. Le casting demeure sans failles dans ce grand spectacle qui s’assume, divertissement pur imbibé d’un réel amour du cinéma chevaleresque.

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