"Je vais venir chez toi..." : Stormy Daniels, la femme qui a fait condamner Donald Trump, serait victime de menaces

"Je vais venir chez toi..." : Stormy Daniels, la femme qui a fait condamner Donald Trump, serait victime de menaces Combinaison d'images avec Stormy Daniels à Hollywood, à gauche, et Donald Trump à New York, à droite - AFP, Robyn Beck
"Je vais venir chez toi..." : Stormy Daniels, la femme qui a fait condamner Donald Trump, serait victime de menaces Combinaison d'images avec Stormy Daniels à Hollywood, à gauche, et Donald Trump à New York, à droite - AFP, Robyn Beck

D'ordinaire peu avare de commentaires sur les déboires judiciaires de Donald Trump, Stormy Daniels, l'ancienne actrice de films X au coeur de l'affaire qui a valu à l'ex-président d'être condamné au...

D'ordinaire peu avare de commentaires sur les déboires judiciaires de Donald Trump, Stormy Daniels, l'ancienne actrice de films X au coeur de l'affaire qui a valu à l'ex-président d'être condamné au pénal, garde pour le moment le silence.

Alors que la justice lui a offert sur un plateau l'occasion de triompher, celle dont le témoignage a été le point fort du procès à New York a pour l'instant laissé son avocat et son mari s'exprimer dans les médias.

Craint-elle d'enflammer les fans de Donald Trump, elle qui a raconté avoir reçu des menaces de mort? Reste-t-elle muette avant une grande interview télévisée? Ou préfère-t-elle simplement prendre du recul?

Son époux, Barrett Blade, et son avocat, Clark Brewster, ont laissé entendre que l'appréhension, voire la peur, n'étaient pas étrangères à ce silence.

"Je ne vais pas parler en son nom, elle délivrera son message au bon moment", a dit son mari à CNN.

Mais "elle est encore en train de digérer" le verdict, et "maintenant tous les idiots de trumpistes vont lui tomber dessus", a-t-il ajouté.

A la journaliste d'une chaîne locale qui évoquait le "stress" de Stormy Daniels avant son témoignage au tribunal, auquel elle s'est rendue en "gilet pare-balles", l'avocat a de son côté répondu qu'il s'agissait plutôt de la "peur" que "quelqu'un fasse quelque chose de fou".

Et depuis le verdict, puisque M. Trump est le candidat du Parti républicain, "la conclusion logique" serait que les craintes...

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