"Je verrai toujours vos visages" : pourquoi les lycéens adorent le film ? ils racontent !

"Je verrai toujours vos visages" : pourquoi les lycéens adorent le film ? - Abaca
"Je verrai toujours vos visages" : pourquoi les lycéens adorent le film ? - Abaca

Lors de la remise du César des lycéens à l'émouvant "Je verrai toujours vos visages", les étudiants ont détaillé auprès de la cinéaste Jeanne Herry les raisons de leur choix. A écouter !

En février dernier, un film remportait le César des lycéens, et pas n'importe lequel : Je verrai toujours vos visages. L'occasion de récompenser une démarche (aborder, minutieusement, le procédé de justice restaurative), un regard de cinéaste, mais aussi, des partitions remarquables d'acteurs. Dont celle de la poignante Adèle Exarchopoulos, également couronnée d'un César du second rôle féminin. Mérité si vous voulez notre avis.

Mais après le sacre, vient la remise officielle du prix !

Et celle-ci ce n'est pas faite sans émotions, au Grand Rex, auprès de l'équipe du film et des étudiants venus en parler. Des mots qui expliquent pourquoi Je verrai toujours vos visages, à l'instar de certains livres (Triste Tigre de Neige Sinno, lauréat du Goncourt des Lycéens) a pu à ce point les bouleverser. Et ce qu'ils racontent en dit long sur les grandes causes qui animent les nouvelles générations. Rappelons quand même que ce César éclot du choix c'un jury composé de 2 286 d'élèves de terminale, issus des lycées de la France entière.

On les écoute ?

"Merci Jeanne Herry !"

Pourquoi ce récit à mi chemin entre la fiction et le documentaire (la cinéaste Jeanne Herry ayant accumulé recherches et documentation !) a su captiver à ce point les lycéens de France ? On écoute Chloé, étudiante qui est venue délivrer un discours : "C'est un film amené sur fond de tristesse... Mais qui mène finalement vers...

Lire la suite


À lire aussi

Cinéma : 3 super portraits de femmes à voir gratuitement en streaming ce weekend
Congélation des ovocytes : Kristen Stewart l'a fait, elle témoigne !
"J'ai deux gnomes, vive la crèche !" : Lou Doillon sans filtre sur la charge maternelle