Ça change quoi le réchauffement climatique ?
Ça change quoi le réchauffement climatique ?
Ça change quoi le réchauffement climatique ?
Dans sa nouvelle synthèse, ce graphique du Giec montre bien comment les dernières années qui ont été les plus chaudes, pourraient devenir les plus froides d’ici quelques décennies.
C'est l'une des séries du moment, et elle porte sur un sujet capital : le réchauffement climatique. Dispo sur Apple...
La synthèse de neuf années de travaux du Giec sur le climat sonne lundi comme un rappel brutal de la nécessité pour l'humanité d'enfin agir radicalement au cours de cette décennie cruciale pour s'assurer "un futur vivable".Cette synthèse des experts climat de l'ONU, qui succède à celle de 2014 et n'aura pas d'équivalent dans la décennie en cours, est "un guide de survie pour l'humanité", a souligné le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies, António Guterres.
Le chèque énergie est une aide financière destinée aux foyers modestes pour les aider à payer leurs factures d'énergie.
Faire un selfie ou un câlin avec son animal favori n'est pas sans conséquences.
Un mois après le violent tremblement de terre de magnitude 7,8 qui a secoué de vastes étendues de la Turquie, Kahramanmaras, une ville proche de l'épicentre du séisme, ressemble à une ville fantôme. Alors que des travaux sont en cours pour nettoyer les débris des bâtiments effondrés, la ville est remplie de maisons vides qui tiennent encore debout, bien que fortement endommagées.
Victoire des associations de protection de l'environnement: le Conseil d’État a ordonné au gouvernement de fermer certaines zones de pêches dans l'Atlantique afin de préserver les dauphins dont les échouages dans le golfe de Gascogne se sont multipliés.Dès fin février, Emmanuel Macron avait admis la nécessité pour la France d'"améliorer (ses) pratiques" pour mieux protéger les dauphins, dont un nombre considérable se retrouve piégé dans les filets des pêcheurs avant de venir s'échouer sur les plages de la côte atlantique. Le Conseil d’État avait été saisi en 2021 par plusieurs associations de défense de l'environnement - France Nature environnement (FNE), Sea Shepherd France et l'association de défense des milieux aquatiques (DMA) - qui réclamaient des suspensions de la pêche dans l'Atlantique.La plus haute juridiction administrative a donc été dans leur sens et a octroyé un délais de six mois au gouvernement pour mettre en place ces interdictions. Elles doivent venir s'ajouter aux "dispositifs de dissuasion acoustique par les bateaux de pêche qui ont déjà été déployés", a indiqué la juridiction.Le Conseil d’État justifie le recours à ces interdictions car les mesures actuelles "ne permettent pas de garantir un état de conservation favorable des espèces de petits cétacés" dont deux - le dauphin commun et le marsouin commun - sont menacées d'extinction, "au moins régionalement"."C'est bien sûr un jour important pour tous ceux qui aiment la mer et les quelques personnes qui ont investi leur vie dans ce combat", a salué DMA.Sea Shepherd France a qualifié cette décision de "victoire historique". "Le gouvernement est forcé de fermer les pêcheries les plus destructrices", s'est réjouie l'ONG qui rappelle que "cet hiver encore un nouvel épisode intense de mortalité de dauphins communs est observé".- Limite maximale dépassée -D'après la LPO, "près de 1.000 cadavres de cétacés ont été retrouvés sur la côte Atlantique depuis le mois de décembre". "Le Conseil d’État met enfin un terme à l’odieuse agonie des dauphins" comme il l'a fait pour "le piégeage à la glu (chasse des oiseaux à l'aide de colle, NDLR), les chasses traditionnelles et bien d’autres dossiers qui participaient à la maltraitance de la biodiversité", s'est félicité le président de la LPO, Allain Bougrain-Dubourg.Dans un rapport publié début février, l'observatoire Pelagis, qui recense depuis 1970 les échouages de cétacés sur la façade atlantique, souligne que la population de dauphins de l'Atlantique Nord-Est décroit depuis plusieurs années et "pourrait s'éteindre d'ici 40 à 50 ans" si rien n'est fait.Pelagis estimait la population de dauphins à environ 200.000 individus en 2011/12. En 2020, 1.299 dauphins communs ont été retrouvés morts sur les côtes françaises, un chiffre tombé à 669 en 2022.Mais, sachant que plus de 80% des dauphins morts coulent ou se décomposent en mer plutôt que de s'échouer, la mortalité annuelle sur les cotes atlantiques est estimée entre 8.000 et 11.000 individus.Selon le Conseil d’État, le nombre de morts de dauphins par capture accidentelle dans le golfe de Gascogne "dépasse chaque année la limite maximale permettant d’assurer un état de conservation favorable en Atlantique Nord-Est"."Le système de contrôle des captures accidentelles mis en place demeure insuffisant pour connaître encore plus précisément leur ampleur", note-t-il également.Il a donc ordonné des mesures complémentaires "pour permettre d’estimer de manière plus précise le nombre de captures annuelles de petits cétacés" et de poursuivre "le renforcement du dispositif d'observation en mer".agu/ico/abl
Après de longues semaines sans une goutte de pluie, faisant craindre un état de grande sécheresse, la pluie a revenu dans plusieurs régions de l'Hexagone. Un climat qui ne va pas pour autant s'installer durablement dans la semaine du 20 au 27 mars 2023, comme le relève La chaîne météo, dimanche 19 mars 2023.
Cette synthèse, qui succède à celle de 2014 et n’aura pas d’équivalent dans la décennie en cours, est « un guide de survie pour l’humanité », a souligné le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
Le séisme de magnitude 6,8 a été ressenti dans plusieurs villes, causant des mouvements de panique dans les rues.
Au moins 14 personnes sont mortes et plusieurs ont été blessées samedi lors d'un tremblement de terre dans le sud de l'Equateur, qui a provoqué d'importants dégâts et a aussi touché le Pérou voisin, selon un bilan officiel.Selon l'Institut sismologique américain USGS, la magnitude du séisme a atteint 6,8. Les autorités équatoriennes ont pour leur part évalué la magnitude à 6,5, et celles du Pérou à 6,7.La présidence de l'Equateur a fait état de 13 morts, dont 11 dans la province d'El Oro et deux dans celle d'Azuay, dans le sud-ouest du pays, et de plusieurs blessés, sans en préciser le nombre.Dans la ville péruvienne de Tumbes, à la frontière avec l'Equateur, une fillette de quatre ans a été tuée par une brique qui lui est tombée sur la tête, selon les autorités."Là où se trouve la flaque de sang, elle jouait avec mon autre nièce et un bloc lui est tombé dessus", a relaté à l'AFP David Alvarado, oncle de l'enfant.Le séisme s'est produit à 12h12 (17h12 GMT), à une profondeur de 44 km, avec pour épicentre la ville de Balao, à environ 140 km au sud du grand port de Guayaquil. Il a semé la panique parmi les habitants qui sont sortis dans les rues. Des habitations se sont effondrées dans plusieurs villes, dont Cuenca (province d'Azuay), l'une des plus touchées."Je suis sortie dans la rue parce que j'ai vu des gens se mettre à courir, terrifiés, d'autres sortir de voitures", raconte à l'AFP Magaly Escandón, vendeuse d'articles de couture dans cette cité andine. "Ils couraient, ils criaient, ils pleuraient", a-t-elle ajouté.Dans le centre historique de Cuenca, des journalistes de l'AFP ont vu des bâtiments effondrés, des maisons anciennes endommagées, des murs fissurés et des véhicules écrasés par les débris. Plusieurs rues de cette ville ont été bloquées à cause de glissements de terrains provoqués par le séisme.- Appel au calme -Le tremblement de terre a été ressenti jusque dans la capitale Quito, selon des témoignages sur les réseaux sociaux."Je lance un appel au calme et à s'informer par les canaux officiels", a tweeté le président équatorien Guillermo Lasso, qui s'est immédiatement rendu dans la province d'El Oro et s'est dirigé ensuite vers la ville de Cuenca pour "constater les dégâts causés par le séisme".Le souvenir du séisme dévastateur qui a secoué l'Equateur en 2016 est encore frais dans les esprits. Avec une magnitude de 7,8, le tremblement avait fait 673 morts et détruit des villages côtiers. Les pertes avaient été estimées à plus de trois milliards d'euros."C'est une magnitude relativement élevée pour (...) le pays", a expliqué dans une interview accordée à la radio locale FM Mundo Mario Ruiz, directeur de l'Institut géophysique équatorien, à propos du séisme de samedi. "Dans la région du golfe de Guayaquil, nous avons eu depuis 2017 (...) environ deux tremblements de terre d'une magnitude supérieure à 5,0 par an", a-t-il constaté."Après 12H13, la réplique la plus importante s'est produite à 12H22", a ajouté M. Ruiz, notant qu'il y avait eu huit répliques au total.Selon l'Institut océanographique et antarctique de la Marine équatorienne, la secousse "ne remplit pas les conditions susceptibles de générer un tsunami" dans le Pacifique.bur-lv/das/lbc/nzg/roc
Dans un rapport datant du lundi 20 mars 2023, le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec) livre un dernier consensus scientifique sur le réchauffement climatique et ses conséquences sur notre planète. D'après les experts, il est encore possible de réduire nos émissions de gaz à effet de serre.
Quartiers bien aménagés, constructions adaptées… Aujourd’hui, la mobilisation des collectivités et des citoyens change le cours des choses.
En neuf ans, les experts du Giec ont établi que le réchauffement climatique causé par l’activité humaine se produisait plus vite et plus fort que prévu.
Le changement climatique en cours bouleverse déjà les activités humaines, alors que les solutions sont disponibles pour diminuer dès à présent fortement les émissions de gaz à effet de serre. C’est le message du sixième rapport du Giec rendu public ce 20 mars 2023.
Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec) a publié, lundi, sa très attendue synthèse du sixième rapport d'évaluation sur les changements climatiques. Un document d'une trentaine de pages qui souligne les dégâts déjà causés par le réchauffement de la planète et la difficulté d'atteindre l'objectif de limiter la hausse des températures. Mais les travaux des scientifiques démontrent aussi que l'effort en vaut la peine, y compris économiquement. C’est la nouvelle “bibl
« trahison » - Après la publication du nouveau rapport du Giec, pour l’instigatrice du mouvement « Fridays for Future », « il devient de plus en plus impossible d’ignorer la crise climatique »
PLANETE - Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat doit publier à 14 heures la synthèse de son 6e rapport d’évaluation
Dans son sixième rapport de synthèse sur le climat, le Giec appelle de nouveau à agir, pour limiter le réchauffement climatique sous les 2°C.
Le résumé du sixième rapport du Giec a été approuvé dimanche par les délégués des pays des 195 États membres. Le texte offre aux décideurs une synthèse de l'état de la science et le panorama des solutions possibles pour une réduction rapide des émissions de gaz à effet de serre. Près de neuf ans après leur dernière synthèse, les experts climats de l'ONU réunis en Suisse livrent, lundi 20 mars, le dernier consensus scientifique sur le réchauffement climatique et sur la réponse urgente de l'humani