Élodie Bouchez dans « Hawaii » : « Le côté ensoleillé de ce film me séduisait »

C.G. : En quoi le projet d'Hawaii vous attirait ?

Élodie Bouchez : C’était un film de copains, de vacances, et cet aspect ensoleillé me séduisait. Après Simone, le voyage du siècle, Amore Mio, de Guillaume Gouix, ou le drame de Jeanne Herry, cette comédie était plus légère, avec un humour fin. Ce qui me fait rire au cinéma, ce sont les situations et celles-ci m’inspiraient. Par ailleurs, j’avais trouvé que Tout nous sourit, le précédent film de Mélissa Drigeard, révélait d’elle un vrai talent de direction d’acteurs, car tous les comédiens étaient très bons. Et, au fur et à mesure que le casting d’Hawaii se construisait, j’étais convaincue que ça pourrait être une belle aventure.

Connaissez-vous vos partenaires ?

Pas tous, comme Bérénice Bejo, mais j’avais travaillé avec Nicolas Duvauchelle dans Happy Few, d’Antony Cordier, et Manu Payet est un copain depuis longtemps. Comme nous n’avons pas tourné à Hawaii mais à La Réunion, la perspective d’être sur son île me plaisait beaucoup.

Avez-vous aimé partager l'aventure avec Roxan Bangalter, votre fils cadet ?

Oui, c’était super ! Comme il correspondait à l’âge du second fils de mon personnage [14 ans], Mélissa m’a demandé si je voyais un inconvénient à ce qu’il passe des essais. Au départ, ce n’était pas simple, car je ne voulais pas le priver de cette expérience, mais, en même temps, je n’avais pas envie de m’ajouter la charge de...

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