Voici les 5 mots à proscrire pour se vendre lors d’un entretien d’embauche, selon une experte

Nous n'y pensons pas toujours, mais certains mots et expressions peuvent nous faire défaut lors d'un entretien d'embauche. Afin d'apprendre à bien se mettre en avant, une experte révèle les cinq mots à proscrire absolument.

Avec le stress de l'entretien d'embauche, il nous arrive d'employer machinalement certains mots ou expressions. La plupart du temps, on ne se rend même pas compte de leur impact alors qu'ils peuvent en fait nous desservir. Interrogée par Cosmopolitan, Mila Elhamdi, coach en gestion de carrière, révèle les cinq mots principaux à proscrire.

« Je pense que je suis »...

Nous n'en voyons pas forcément le mal, pourtant ces cinq mots sont à bannir au moment de se vendre lors d'un entretien d'embauche. S'ils nous servent à répondre à certaines questions de l'employeur, les mots « je pense que je suis » révèle en réalité, dans le cadre professionnel, un manque de confiance en soi.

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De la même manière, l'experte déconseille de mettre plus en avant ses expériences que ses capacités. En indiquant qu'« une expérience nous a appris quelque chose », nous avons tendance à nous mettre en retrait au profit d'une entreprise ou d'une rencontre. La coach conseille alors : « Préférez une formulation plus directe. Par exemple, 'Je suis un candidat qui…' ou 'J’ai appris', qui définissent votre proactivité » et mettent directement en avant le candidat.

Aussi, attention aux termes affaiblissants. Dire que l'on « maîtrise assez » un outil ou que l'on sait « plutôt bien » parler en public, par exemple, laisse penser que...

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