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Affaire conclue - "Les escrocs !", "Elle s'est fait avoir", "Pas honnête" : les internautes crient à l'arnaque au sujet du prix de vente d'un objet

Affaire conclue : les internautes crient à l'arnaque au sujet de la vente d'un objet

Ce vendredi 5 mai 2023, France 2 a diffusé un épisode de son émission phare, Affaire conclue, présentée par Sophie Davant. Alors que les vendeurs se sont succédés sous les yeux aiguisés des célèbres acheteurs de l’émission, c’est la vente d’un objet qui a particulièrement irrité les internautes. La raison de leur courroux ? Le prix de la vente.

Voilà plusieurs années maintenant que France 2 fait carton plein avec son émission, Affaire conclue. Au fil du temps, le programme s’est imposé dans la grille télévisuelle, écrasant parfois la concurrence. Ce vendredi 5 mai 2023, Sophie Davant et ses acolytes étaient donc de retour pour accueillir les vendeurs des quatre coins de l’Hexagone, venus dans l’espoir de repartir avec de coquettes sommes. Martine faisait partie de ceux-là.

Vidéo. La minute de Sophie Davant

Dans ses bagages, la vendeuse a apporté un très bel objet : une jolie et ancienne commode. D’emblée, face à Sophie Davant et le commissaire-priseur de l’émission, Harold Hessel, la commode a fait son petit effet. Martine, pas peu fière, a expliqué son histoire. L’objet appartenait à son beau-frère, et a atterri chez elle à la mort de celui-ci. Mais bien avant cela, c’est une grande tante de l’époux de Martine qui l’avait en sa possession. Cette fameuse grande tante (vous suivez toujours ?) était religieuse, mais a quitté le voile après 18 ans de services pour épouser... un croupier ! Une jolie histoire donc, doublée d’une belle expertise par le commissaire-priseur.

La commode de la discorde

Selon Harold Hessel, la fameuse commode date du 18e siècle. Et à en croire le nom gravé dessus, elle a été construite des mains d’André-Antoine Lardin, un célèbre ébéniste à l’époque de Louis XV. Pour le commissaire-priseur, l’estimation monte jusqu’à 2000 euros. Mais déjà, du côté de Twitter, il y a bémol. Pour les internautes, cette estimation n’est pas tout à fait à la hauteur de la commode, et certains sont même allés jusqu’à fouiller Internet pour le prouver.

Qu’à cela ne tienne, une fois face aux acheteurs, Martine était bien déterminée à aller au-delà de l’estimation, consciente du caractère précieux de son objet. Après avoir décliné la belle histoire qui se cache derrière cette commode, la vendeuse a répondu aux questions des acheteurs… parfois en améliorant la vérité, et en choisissant la méthode rentre-dedans. Pas question que sa commode se vende à bas prix ! Mais là encore, ça n’a pas plu à certains oiseaux de Twitter.

Une vente qui choque les internautes, les acheteurs visés

Fins connaisseurs, les acheteurs ont tout de suite inspecté chaque recoin de la commode. Est ensuite venu le temps des enchères lancées par Djamel Bentenah. Prix de départ : 200 euros. Au bout de quelques secondes, et alors que les enchères semblaient s'accorder sur le prix de 1400 euros, Martine s’est dit qu’il fallait intervenir. Alors, avec un léger sourire, la vendeuse n’a pas hésité à indiquer aux acheteurs que l’estimation était plus élevée que ce qu’ils lui proposaient. Damien Tison est donc monté jusqu’à 1750 euros. Martine a fait la fine bouche, pas sûre de céder son objet pour cette somme. Et puis, Caroline Pons a offert un dernier effort : ce sera 1900 euros, ou rien. Martine, déçue, a baissé les armes. Sauf que sur Twitter, les internautes l’assurent : la vendeuse n’aurait jamais dû céder sa commode à un prix qu’ils estiment trop bas.

Et puis il y a les autres Twittos, plus ironiques, qui imaginent le devenir de cette pauvre commode dans les mains de certains acheteurs.

Martine a-t-elle bien fait de vendre sa commode au prix de 1900 euros ? S’est-elle vraiment fait arnaquer ? Les internautes, eux, ont tranché.

Vidéo. Affaire conclue : Sophie Davant surprise par le comportement d'Harold Hessel