Affaire conclue - "On croit rêver", "Pauvre Harold", "Ce n'est pas son larbin" : l'attitude de Sophie Davant avec le commissaire-priseur Harold Hessel agace les internautes

Capture écran France 2 direct/Affaire conclue
Capture écran France 2 direct/Affaire conclue

Souvent critiquée par les internautes pour son attitude dans Affaire conclue, Sophie Davant a été particulièrement chahutée ce jeudi 13 octobre 2022 sur Twitter. En cause notamment, sa façon de traiter l'un des commissaires-priseurs les plus appréciés des téléspectateurs, Harold Hessel.

Les scènes se sont déroulées dans le deuxième épisode d'Affaire conclue, diffusé ce jeudi 13 octobre 2022 aux alentours de 17h. En début de programme, Sophie Davant recevait en salle d'expertise une certaine Virginie, venue vendre un service en porcelaine à l'effigie de Tintin et plus précisément de l'album Le trésor de Rackham le rouge. Cette amatrice de lectures qui travaille dans une école maternelle, ne souhaitait pas le garder par peur de le casser. Et pour cause... elle est surnommée par ses élèves "la maladroite" : "je renverse beaucoup, je tombe de mon tabouret, je les fais rire, je fais tomber les perles etc", a-t-elle révélé avec autodérision à son sujet.

Pour estimer ce service à l'état impeccable, conçu en 1996, Harold Hessel, commissaire-priseur, en a détaillé les caractéristiques. Mais alors qu'il dénombrait les personnages qui apparaissaient sur la vaisselle, -Tintin, Milou, le capitaine Haddock, ou encore le sous-marin-, Sophie Davant a brutalement laissé échapper une pièce du service de ses mains. Heureusement, plus de peur que de mal, rien n'a été cassé ni même abîmé. Mais cette petite frayeur a suffi pour que les internautes lui tombent dessus : en effet, depuis toujours, beaucoup d'entre eux lui reprochent de vouloir toucher à tous les objets, n'hésitant pas parfois à les prendre des mains des commissaires-priseurs. Un accident devait donc selon eux forcément arriver !

Ce jeudi, certains ont aussi relevé qu'elle n'avait pas pris la peine de s'excuser auprès de la vendeuse, se contentant de dire en riant à son sujet : "on se demande qui est la plus maladroite des deux".

"Elle donne des ordres au pauvre Harold qui est trop patient"

Plus tard dans l'épisode, c'est un autre défaut souvent reproché à l'animatrice qui a été illustré par une deuxième scène : sa façon de traiter les personnes qui travaillent avec elle. Olivia, élégante conseillère municipale a apporté du mobilier du designer et architecte américain Charles Eames et de son épouse Ray. Des fauteuils inventés en 1956 figurant "parmi les sièges les plus célèbres de la planète", selon Harold Hessel, de nouveau en charge de l'expertise. "Ils n'ont pas pris une ride, ils sont toujours autant à la mode, il s'est vendu depuis 1956 plus de six millions d'exemplaires de ces sièges", a-t-il détaillé, avec la passion que les téléspectateurs lui connaissent.

Mais l'animatrice, elle, semblait à ce moment-là bien plus intéressée par l'idée de tester le confort de ce mobilier : sans attendre bien longtemps, elle s'est affalée sur le fauteuil sur lequel elle a rapidement pris ses aises. Tant et si bien qu'elle a interrompu Harold Hessel pour lui demander un petit service : "ça ne vous dérange pas de me rapporter le repose-pieds et de me le mettre à bonne distance ?". Très gentleman, le commissaire-priseur s'est exécuté sans rechigner. Mais sur Twitter, l'attitude de diva de Sophie Davant a beaucoup froissé les internautes. Très apprécié de ces derniers, Harold Hessel s'est vu de son côté conseiller de se montrer moins gentil et patient avec l'animatrice. Vrai abus ou simple taquinerie entre deux personnes qui s'apprécient ? C'est à chacun d'en juger...

Vidéo. Découvrez le portrait de Sophie Davant