Alerte internationale, premier cas en Europe... Ce que l’on sait de l’épidémie de mpox et de sa dangerosité
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi 14 août son niveau d’alerte le plus élevé au plan international face à la résurgence de cas de mpox sur le continent africain. Jeudi 15 août, un premier cas a été détecté sur le sol européen, en Suède. ELLE fait le point sur l’ampleur de l’épidémie.
Le plus haut niveau d’alerte sanitaire à l’échelle mondiale. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi 14 août son plus haut niveau d’alerte au niveau international, alors que l’Afrique fait face à une résurgence inquiétante des cas de mpox, anciennement connu sous le nom de variole du singe. « Le comité d’urgence s’est réuni et m’a fait savoir qu’à son avis, la situation constitue une urgence de santé publique de portée internationale. J’ai accepté cet avis », a déclaré son directeur général, le docteur Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Jeudi 15 août, l’Agence suédoise de santé publique annonçait qu’une personne vivant dans la région de Stockholm avait été diagnostiquée comme porteuse du sous-type clade 1 du virus du mpox, plus contagieux et dangereux. Une première hors d’Afrique. Le Pakistan fait à son tour état, ce vendredi 16 août, d’un premier cas de mpox sur son territoire. ELLE fait le point sur la dangerosité de l’épidémie et son ampleur.
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Pourquoi la résurgence des cas de mpox inquiète-t-elle autant ?
L’épidémie actuelle, partie de la République démocratique du Congo (RDC), a ses spécificités. Avec, en premier lieu, un virus plus contagieux et dangereux. Elle est provoquée par le clade 1 et par une variante encore plus dangereuse, le clade 1b. Ce nouveau clade a été identifié pour la première...
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