Aliments transformés : définition, liste, risques

Depuis les années 2000, il nous est vivement recommandé de “manger cinq fruits et légumes par jour”, comme le rappelle le site gouvernemental Manger Bouger. Le message est on ne peut plus clair.

Toutefois, en vingt ans, l'industrie de la grande distribution a changé, ainsi que les produits que l’on peut trouver dans les rayons. Certains aliments, par exemple, peuvent donner l’apparence d’aliments peu transformés, tout en ayant, en réalité, déjà subi de nombreuses transformations avant d’atterrir dans nos assiettes (et nos estomacs).

Difficile de ne pas se laisser berner par des aliments qui ont l’apparence du naturel… mais qui en sont loin, très loin.

Selon le site Manger Bouger, on distingue ainsi trois catégories d’aliments :

Comme le souligne la NHS (National Health Service, institution officielle de santé britannique), des ingrédients tels que le sel, le sucre et les matières grasses sont parfois ajoutés aux aliments transformés pour rendre leur saveur plus attrayante et prolonger leur durée de conservation. Dans certains cas, pour contribuer à la structure de l'aliment, comme le sel dans le pain ou le sucre dans les gâteaux.

L’achat d'aliments transformés peut ainsi conduire les consommateurs à dépasser les quantités recommandées de sucre, de sel et de graisse, car ils ne sont pas toujours conscients des quantités ajoutées aux aliments qu'ils achètent et consomment.

Ces aliments peuvent également être plus caloriques en raison des quantités élevées de sucre ou de graisses (...)

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