Assassinat du petit Grégory en 1984 : yeux bruns et cheveux châtains, ces caractéristiques physiques qu'aurait son meurtrier

Une affaire tristement célèbre qui a bouleversé les Français… Le 16 octobre 1984, en fin d’après-midi, Christine Villemin signalait la disparition de son fils Grégory, âgé alors de 4 ans, à Lépanges-sur-Vologne, dans les Vosges. Le même jour, le corps sans vie du petit garçon a finalement été retrouvé aux alentours de 21h15, dans la rivière de la Vologne. Près de quatre décennies plus tard, l’affaire est toujours non-élucidée. Trois ans avant le meurtre de leur fils, ses parents Jean-Marie et Christine avaient été victimes d’un harcèlement téléphonique et manuscrit. En 2000, le dossier a été réouvert pour l’analyse de la salive retrouvée au dos d’une lettre du harceleur. "L’omerta règne dans la Vologne et cela impacte énormément l’enquête", a estimé François Saint-Pierre, l'un des avocats de la famille Villemin, dans le podcast L’Heure du Crime, diffusé lundi 16 octobre 2023. Alors qu’un non-lieu avait été décidé, les enquêteurs n’ont cessé de chercher un indice, afin de découvrir l’identité du meurtrier. Au printemps 2017, Murielle Bolle, une cousine de la famille Villemin, a été placée sous contrôle judiciaire, jusqu’à sa levée, trois ans plus tard.

Des recherches ADN sont ainsi toujours en cours. Au micro de L’Heure du Crime, Me Katia Gabriel, l'une des avocates de la famille Villemin, a assuré que cela n’avait pas été sans résultat. "Un portrait-robot génétique a tout de même permis de donner des caractéristiques physiques. Deux portraits masculins se dessinent, ils auraient (...)

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