Baiser forcé : Luis Rubiales refuse de démissionner de son poste de président de la fédération espagnole

Luis Rubiales, à la tête de la fédération depuis 2018, a affirmé qu’il ne présenterait pas sa démission, lors d’une assemblée générale qui s’est tenue ce vendredi 25 août. Le patron du foot espagnol est au cœur d’un scandale depuis qu’il a agressé sexuellement une joueuse après la victoire de l’Espagne au Mondial.

Luis Rubiales était sur un siège éjectable depuis qu’il avait embrassé de force Jennifer Hermoso, la N.10 de l’équipe de foot féminine, devant les caméras du monde entier juste après le sacre de l’Espagne face à l’Angleterre, dimanche. À son retour dans les vestiaires, la joueuse avait réagi lors d’un direct diffusé sur Instagram, affirmant : « Ça ne m’a pas plu, hein ! »

Un peu plus tard, dans des déclarations transmises à la presse par la fédération, elle expliquait qu’il s’agissait « d’un geste mutuel totalement spontané en raison de l’immense joie que procure la victoire en Coupe du monde ». Mais selon le média espagnol « Relevo », ces déclarations auraient en fait été rédigées par le service de communication de la Fédération, une information qui est venu ajouter à la polémique qui enflait déjà.

Cette agression sexuelle en direct a fait réagir les plus hautes instances du ballon rond, demandant à Luis Rubiales de présenter sa démission. Ce dernier s’est exprimé ce vendredi 25 août lors d’une assemblée générale de la fédération affirmant qu'il ne démissionnerait pas.

Pas de démission

Après avoir présenté à nouveau ses excuses, Luis Rubiales a expliqué qu’il ne démissionnerait pas. Il a de nouveau défendu un geste « spontané, mutuel et consenti » et qu’il n’avait pas été administré depuis une « position de pouvoir ». « Je ne vais pas démissionner ! Je ne vais pas...

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