Cécile de France : « Jouer dans une adaptation littéraire, c’est s’enrichir de l’univers du livre mais arriver aussi à s’en détacher »

Cécile de France était présente au festival Cinéroman ce jeudi 5 octobre, pour présenter « Bonnard, Pierre et Marthe ». Un long-métrage signé Martin Provost, dans lequel elle interprète – avec brio – la muse et compagne du « peintre du bonheur ». Nous avons eu la chance de la rencontrer en marge de la projection.

Jusqu’au 7 octobre prochain, le festival Cinéroman, à Nice, célèbre la relation entre les livres et le cinéma. Dans le cadre de ce festival, huit films adaptés d’œuvres littéraires sont en compétition – ils seront départagés par Alex Lutz et son jury - et quatorze avant-premières sont proposées au public. Parmi celles-ci, Bonnard, Pierre et Marthe de Martin Provost, projeté hier en présence du réalisateur et de son actrice principale, Cécile de France. Nous avons eu la chance de l’interroger sur son rôle, complexe et énigmatique, de Marthe Bonnard (une interview à retrouver prochainement sur notre site), mais aussi sur son rapport aux adaptations littéraires.

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Cécile de France et son rapport aux adaptations littéraires

Car comme bon nombre d’acteurs et d’actrices, Cécile de France a incarné, sur grand écran, des personnages tirés de romans. On se souvient ainsi de son interprétation de Tania dans le touchant Un Secret de Claude Miller, adapté du roman autobiographique de Philippe Grimbert (paru en 2004), et bien sûr de sa présence magnétique au casting d’Illusions perdues, la grandiose adaptation de Balzac signée par son complice Xavier Giannoli.

Jouer dans une adaptation littéraire, un exercice particulier pour un acteur ? « C’est à la fois s’enrichir de l’univers du livre mais arriver aussi...

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