Que signifie Imbolc, la fête que les sorcières célèbrent le 1er février ?
Pour les fans de sorcellerie moderne, le 1er février marque un moment charnière de l’année. Avec Imbolc, on se réjouit des beaux jours qui reviennent lentement (mais sûrement). Explications.
On entend d’ici les doigts des gourmandes Taureau se croiser en espérant de tout cœur qu’il s’agisse d’une seconde Chandeleur. Imbolc n’est pas tout à fait une « crêpes party » comme les autres, mais elle en est à l’origine, à sa manière. Cette fête païenne fait aujourd’hui partie des huit sabbats de l’année, chez les pratiquantes de la spiritualité wiccane. Vous connaissez peut-être Yule, l’ancêtre de Noël ou Samain qui a donné lieu à Halloween. Imbolc est la première célébration païenne du calendrier actuel et elle honnore le retour progressif de la lumière. Un temps pour reprendre des forces avant le renouveau du printemps. En dégustant quelques crêpes, par exemple. On vous dit tout sur cette célébration et ses petits rituels.
D’où vient Imbolc et comment le célébrer ?
Chez les sorcières, comme en astrologie, chaque saison est empreinte d’une énergie bien à elle. Imbolc sert ainsi de douce transition entre la rigueur de l’hiver et la prospérité du printemps. C’est l’exact milieu de l’hiver, l’instant où les jours commencent à se faire plus longs. Les célébrations du 1er février se tiennent ainsi en l’honneur de la déesse celte de l’inspiration, de la guérison et du Feu : Brigid ou la divinité grecque, Vesta. Imbolc est une invitation à s’ouvrir au monde et aux autres. Comme la nature qui se réveille après une période d’hibernation, il est temps de faire appel à son esprit créatif...
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