Connaissez-vous la précrastination, l’ennemie de ceux qui remettent tout au lendemain ?
Qui dit procrastination dit aussi… précastination. Les deux s’opposent mais trahissent, de la même manière, une difficulté à gérer l’anxiété. Explications.
Tout remettre au lendemain serait plus dangereux qu’il n’y paraît. La procrastination touche trois quarts des Français (74%), selon l’institut de sondage OpinionWay. Plutôt que de vaquer à des tâches urgentes, les adeptes de la procrastination préfèrent se concentrer sur des activités qui leur plaisent. Aux oubliettes, la déclaration d’impôts, la machine à étendre, ou les candidatures pour trouver un emploi. Si l’habitude paraît commune, un autre mécanisme existe, repéré par « Psychologies », et concerne beaucoup d’entre nous (les plus organisés, disons). Cette façon alternative de gérer les tâches est l’opposé de la procrastination et se fait appeler par les psychologues … la précrastination.
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C’est quoi ?
Lorsque l'on précrastine, on apparaît comme productif. Mais, si elle semble être un idéal inatteignable pour ceux qui reportent tout au lendemain, elle comporte aussi son lot de désavantages. Et si, en précrastinant, on voulait aussi échapper à quelque chose ? Dans un article du « Guardian », le professeur de psychologie Christopher Gehrig explique que la procrastination et son pendant plus « rigoureux» sont considérés comme « deux extrêmes ». Ils effectuent une tâche dès que possible afin que leur cerveau ne soit pas pollué par une to-do list interminable. Chaque tâche est éliminée le plus rapidement possible, parfois...
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