Costa Gavras fait son mea culpa après la polémique du « Dernier Tango à Paris » à la Cinémathèque
Après la polémique autour de la programmation du « Dernier Tango à Paris » de Bernardo Bertolucci, la Cinémathèque française a présenté ses excuses devant la commission parlementaire sur les violences sexuelles. Lors de l’audition, le président de l'institution Costa Gavras ont reconnu que c’était une erreu de montrer ce film en l'absence de mise en contexte.
Un mea culpa tardif. Devant la commission parlementaire sur les violences sexuelles, les dirigeants de la Cinémathèque française ont finalement présenté leurs excuses pour ne pas avoir mis en contexte une projection du film « Le Dernier Tango à Paris ».
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En décembre dernier, la projection de ce film de 1972 du réalisateur italien Bernardo Bertolucci, comportant une scène de viol tourné sans le consentement de son actrice Maria Schneider, avait suscité beaucoup de réaction du côté des féministes. La projection avait finalement été annulée 24 heures avant, officiellement pour raisons de sécurité, mais officieusement en raison du soulèvement féministe sans précédent.
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