« Culpabilité solaire » : qu'est-ce que ce phénomène qui apparaît au retour des beaux jours ?
Les beaux jours reviennent peu à peu, pour le plus grand bonheur de tous. Tous sauf ceux qui n'ont pas encore trouvé le temps, ni l'envie, de sortir profiter des rayons du soleil. Un phénomène qui déprime et que l'on appelle la « culpabilité solaire ».
Nous entendons beaucoup parler de la déprime hivernale, amenée par le froid et la grisaille de la saison froide. À cette période, le manque de luminosité nous plombe le moral et nous pousse à rester chez nous. Alors, nous sommes (très) nombreux à attendre le retour des beaux jours. Pourtant, quand ils sont enfin là, le moral ne revient pas tout de suite. C'est normal ! C'est ce qu'on appelle la « culpabilité solaire ».
Qu'est-ce que la « culpabilité solaire » ?
Nous l'attendions comme le Messie. Le soleil est de retour et le mercure remonte.. Il est enfin temps de profiter de nouveau des terrasses, des balades au grand air et des activités de plein air. Et alors que nos amis nous somment de sortir, notre seule envie est de rester au lit à « binge watcher » (regarder d'une traite, en fançais) une série. Malgré ce choix assumé, une touche de culpabilité pointe le bout de son nez et nous fait nous sentir mal de ne pas profiter des rayons... C'est la « culpabilité solaire ».
A découvrir également : Ménage de printemps : voici pourquoi il est bénéfique pour notre santé mentale, selon une experte
Inventé par la coach et psychologue américaine Nadia Teymoorian et expliqué au HuffPost, il s'agit d'un « sentiment de regret qui s’installe dès que vous rester à l’intérieur lors d’un jour ensoleillé et il peut être particulièrement dérangeant dès lors que vous imaginez que tout le monde est dehors et passe un bon...
A lire aussi
Cette compétence est l'une des plus recherchées par les employeurs aujourd'hui, selon un rapport
Ménage de printemps : voici pourquoi il est bénéfique pour notre santé mentale, selon une experte
Voici pourquoi certaines personnes sont plus tactiles que d'autres, selon une étude
Voici pourquoi il ne faut pas exposer ses enfants sur les réseaux sociaux