Le début du Mondial féminin maintenu après une fusillade mortelle en Nouvelle-Zélande

Les joueuses de la Nouvelle-Zélande et de la Norvège ont donné le coup d'envoi d'une Coupe du monde programmée pour battre des records, jeudi à Auckland. Quelques heures après le « choc » d'une fusillade mortelle survenue dans la ville néo-zélandaise.

Une minute de silence avant le début de la Coupe du monde de football féminin. Une fusillade, sans lien avec le tournoi selon la Fifa, a éclaté en marge de la préparation de plusieurs sélections se trouvant à proximité, dont les doubles tenantes du titre américaines. Trois personnes sont décédées dont le tireur présumé, et six blessés sur un chantier de construction, dans le centre d'Auckland.

Le groupe de la Norvège a été réveillé par un hélicoptère et « un grand nombre de véhicules d'urgence », a déclaré la capitaine Maren Mjelde, citée dans un communiqué.

Les joueuses norvégiennes sont saines et sauves, a annoncé la Fédération néo-zélandaise, « choquée » par la fusillade, un phénomène rare dans l'archipel, qui pose des questions autour de la sécurité de l'événement.

La première journée du Mondial se poursuit par un duel entre l'Australie et l'Irlande (12 h 00) à Sydney, où 75 000 spectateur·ices sont attendu·es pour soutenir les « Matildas ». Une minute de silence a été respectée juste avant le début de la rencontre.

Les organisateurs s'attendent à battre un record local d'affluence au mythique Eden Park, temple du rugby et des All Blacks (43 000 sièges en configuration Fifa), dernière conquête d'une compétition en plein essor.

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Premier Mondial à 32 équipes, premier Mondial dans l'hémisphère sud, premier Mondial...

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