Les députés trouvent un compromis sur les conditions d’accès à l’aide à mourir

Une personne devra être atteinte « d’une affection grave et incurable, qui engage son pronostic vital, en phase avancée ou terminale » pour avoir accès à l’aide à mourir, selon la formulation adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale jeudi 6 juin.

Définir les conditions d’accès à l’aide à mourir. C’est sur cette question que se sont penchés les députés jeudi 6 juin en examinant l’article 6 du projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie, « pierre angulaire » du texte. Pour avoir accès à l’aide à mourir, une personne devra être atteinte « d’une affection grave et incurable, qui engage son pronostic vital, en phase avancée ou terminale », selon l’amendement adopté par les députés en première lecture.

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