Les deux femmes à l'origine des rumeurs de transidentité autour de Brigitte Macron seront jugées ce mercredi 19 juin

Selon Emmanuel Macron, ce sont des "fadas". Le 8 mars 2024, au micro de TF1, il avait dénoncé les rumeurs qui ont été lancées par deux femmes au sujet de son épouse, Brigitte Macron. En effet, le 10 décembre 2021, dans une vidéo partagée sur YouTube, une femme assurant être une "médium", se faisant appeler Amandine Roy, accompagnée de Natacha Rey, présentée comme une "journaliste qui a enquêté pendant trois longues années sur le cas Brigitte Macron", assuraient que la femme du chef de l'État était en réalité un homme. Dans cette très longue vidéo, Natacha Rey avait évoqué "l’étrangeté du physique" de la Première dame et "la version officielle du récit de sa vie passée, qui comporte un grand nombre d’anomalies". Selon ses dires, Brigitte Macron n'aurait tout simplement jamais existé et sa véritable identité serait Jean-Michel Trogneux, le nom de son frère. Alors que cette vidéo avait fait beaucoup de bruit, les deux femmes qui avaient lancé ces rumeurs vont devoir faire face à la justice mercredi 19 juin 2024.

Elles seront jugées par le tribunal correctionnel de Paris. Initialement, le procès était prévu pour 2025, mais il a été avancé à la demande de Jean Ennochi, avocat de Brigitte Macron. "Je souhaitais que l’on puisse plaider plus tôt compte tenu de la recrudescence" de la rumeur en ligne, a-t-il ainsi fait savoir à nos confrères du HuffPost, le 19 juin. "C’est odieux, pour elle et pour ses enfants. On dit que son ex-mari [André-Louis Auzière, ndlr] n’est jamais né. Elle non (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite