Les dossiers de Chroniques Criminelles : les histoires d’amour finissent mal ?

Voilà ce qu’affirmaient les Rita Mitsouko… Et qui pourrait résumer à merveille nombre d’histoires criminelles au dénouement sordide.

D’amour comme du pire il est donc question dans ce tout dernier numéro des dossiers de Chroniques Criminelles. Le magazine vous plonge dans les coulisses de ces histoires d’amour dont l’adage ne saurait être que « Pour le meilleur et surtout pour le pire ».

Lionel Floury, ancien cadre commercial, a réchappé à sept tentatives d’assassinat. Un miracle ! Surtout quand on sait que la commanditaire n’était autre que son épouse. L’ironie du sort veut que le mobile du crime n’ait été autre qu’une assurance-vie bien remplie… Jacques Métais a lui aussi connu une histoire d’amour tragique. Alors qu’il est retrouvé pieds et poings liés dans les calanques de Marseille, l’enquête penche d’abord pour un règlement de comptes avant de révéler que la responsable est en réalité son ex-épouse.

Dans ce nouveau numéro, le magazine revient également sur deux tueurs en série qui ont marqué les esprits. Tout d’abord Guy Georges, connu pour être l’un des pires criminels du XXe siècle, a été traqué par la Brigade Criminelle de Paris pendant près de dix ans. Le magazine revient également sur le non moins célèbre Jack l’éventreur dont l’identité reste, à ce jour, encore inconnue.

Le temps qui passe et les Cold Cases sont d’ailleurs au cœur de la justice… Que faire quand un crime n’est pas élucidé ? A travers l’histoire des fiancés de Fontainebleau, mystérieusement abattus par des tireurs inconnus,...

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